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CARLOS QUINTO

Publié le 16/09/2014

Extrait du document

CARLOS QUINTO

En una anchurosa cuadra

del alcazar de Toledo,

cuyas paredes adornan

ricos tapices flamencos,

al lado de una grau mese.

que cubrc de terciopelo

napolitano tapete

con barlones de oro y flecos,

ente un sillôn de respaldo,

que entre bordado arabesco

los timbres de Espafia ostenta

y el aguila del lmperio,

de pie estaba Carlos Quinto,

que en Espafta era primera,

con gallardo y noble talle,

con noble y tranquila aspect°.

De brocado de oro Blanco

viste tabard() tudesco,

de rubias martas orlado,

y desabrochado y suelto,

dejando ver un justillo

de raso jalde, cubierto

con primnrosos bordados

y costosos sobrepuestos,

y la excelsa y noble insignia

del Toisent de Oro pendiendo

de una preciosa cadena

en la mitad de su pecho.

Un birrete de velludo

con un Blanco airôn sujeto

por un joyel de diamantes

e un antiguo camafeo,

descubre por ambos lados

tante majestad, cubriendo,

rubio, cual barba y bigote,

bien atusado el cabcilo.

Apoyada en la cadera

la patente diestra ha puesto,

que aprieta dos guantes de

ra-mbar

y un primoroso masquera.

Y con la siniestra halage,

de un mastln muy corpulente,

blanc° y las orejas rubias,

et ancho y carnoso cuello.

Duque de RIVAS Un castellano leal

« EJERCICIO GRAMATICAL Les poètes, alors, se niirent à rire bruyamn1ent con1mc des enfants, Je viens de sortir de n1a poche, où il n1'pst in1possible de l'oublier, la montre de mon père.

Spendius sauta dans le trou qu'ils 1:enciient de faire en découvrant la dalle.

Justement le bateau i•ient d'entrer dans le port.

Le maître s'endormit; l'âne se mit à paître.

Seigneur écolier, me dit-il, je viens d'apprendre que vous êtes le seigneur Gil Bias de Santillane.

Sa fe1nme les vit Yenir et se mit à courir.

·voilà tous les Anglais qui se tneltent à fuir; plusieurs.

sautent dans le fossé et se noient.

Et il se mit à marcher devant, jouant de la hache à droite et à gauche.

Ils descendent en effet, sortent par plusieurs portes et se mettent à frapper sur eux, comme s'ils battaient leur blé dans l'aire.

TEMA Charles-Quint par le Titien.

- C'est le spectre d'un ) surgissant dans un paysage presque lugubre au soir de la bataille de ~Iuhlberg.

Sous l'armure on devine le prince fatigué, amaigri, n1ais roidissant tout son organis1ne surmené par une volonté irritée qui durcit sa face blême et hallucine son regard.

11 sursaute, il charge l'ennemi en déroute, il triornphe.

Il se venge.

Plus diplomate que guerrier, il a voulu avec une coquetterie spéciale que fùt peinte de lui cette image redoutable, et le Titien a su deviner son intention secrète.

Avec le cheval n1assif, le harnais de combat ciselé et doré certes, n1ais nullement d'apparat, l'écharpe et le panache rouges, la pique brandie par le poing crispé, les lueurs sulfu­ reuses du ciel et les tristes teintes de l'orée de forêt d'où s'élance pesamn1ent ce cavalier solitaire, une symphonie tragique est composée.

l\.Iais rien n'y apporte un élément aussi fantastique et sinistre que le vü;age lui-n1ême de Charles, cc visage irnpas­ siblc, marmoréen, syn1hole de la résolution orgueilleuse, de la vindicte sans merci du lutteur qui joue son destin.

Camille l\IAUCLAIR L'Apre et Splendide Espagne 101 -. »

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