colle: Tiempo de lucha

« Tiempo de lucha Esta semana es un buen momento para recordar cuánto camino nos hace falta para tener una educación equitativa en la que los hombres no se sientan con el derecho sobre las mujeres y que las mujeres recibamos una educación en la que no permitamos ningún tipo de abuso. Hasta hace algunos años, recuerdo con pesar cómo abundaban las bromas machistas en las que las mujeres solíamos ser objeto de burla.

No dibujar una sonrisa a pesar de la incomodidad era mal visto. Afortunadamente, la educación, el cambio de leyes y un aprendizaje lento han permitido ir corrigiendo algunas conductas nocivas para las mujeres. Este 25 de noviembre es el Día Internacional de la Eliminación de la Violencia contra la Mujer, una fecha propicia para recordar los diversos tipos de violencia a los que nos enfrentamos. Las mujeres, sobre todo, tenemos la responsabilidad de quitarle protagonismo a las actitudes que nos ponen en riesgo.

Trabajar para que los hombres se sientan cada vez menos cómodos con actitudes que antes fueron "normales". 15 La educación es valiosa por varias razones, pero una de las más importantes es porque en la medida en que escalamos en puestos de liderazgos, podemos generar cambios y destruir viejas costumbres.

Si algo puedo decir con propiedad es que en la medida en que ejercemos jefaturas, podemos apoyar a otras mujeres y frenar los abusos con autoridad. En estos últimos meses, además, hemos visto un incremento de violencia contra las mujeres 20 en el ámbito político y, también, la normalización de la sociedad en atacar a aquellas con las que no comparten ideología. Este incremento también ha confinamiento producto de la ocurrido en los hogares, debido al pandemia. Es un buen momento para hablar del tema y potenciar, sobre todo, la autoestima y el 25 empoderamiento femenino. Las burlas no son normales, los ataques en redes no son normales y por supuesto los golpes no son normales. Tenemos un largo camino para reeducar a los hombres y a las mujeres. A los primeros para que dejen de percibir a sus parejas como un objeto que les pertenece y a las mujeres, para que 30 no normalicen las relaciones abusivas, que no vean en el acoso o los celos, señales de amor. Ojalá en algún momento seamos una sociedad capaz de reconocer señales de un abusador y defender a quien es revictimizada en relaciones abusivas. Para eso habrá que mejorar nuestros procesos educativos y reevaluar los valores que por años la sociedad ha impuesto.

Reflexionemos en los espacios cercanos y generemos cambios, 35 porque la próxima víctima puede ser una hija, una sobrina o alguien a quien amamos profundamente.

Y porque el victimario también puede ser alguien a quien queramos y no podamos rescatar. Claudia Ramírez, La Prensa Gráfica, 22/11/2020 Un temps de lutte Cette semaine est un bon moment pour se rappeler le chemin qu'il reste à parcourir pour avoir une éducation égale dans laquelle les hommes ne se sentent pas en droit de dominer les femmes et où les femmes reçoivent une éducation dans laquelle nous ne permettons aucune forme d'abus.

Jusqu'à il y a quelques années, je me souviens avec regret des nombreuses blagues machistes dans lesquelles nous, les femmes, faisions l'objet de où les femmes étaient autrefois l'objet de moqueries.

Ne pas sourire malgré l'inconfort était mal vu. Heureusement, l'éducation, l'évolution des lois et l'apprentissage lent nous ont permis de corriger certains comportements préjudiciables aux femmes. Ce 25 novembre est la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, une date qui permet de se souvenir des différents types de violence auxquels nous sommes confrontés. Les femmes, surtout, ont la responsabilité de désamorcer les attitudes qui nous mettent en danger.

Nous devons travailler pour que les hommes soient de moins en moins à l'aise avec des attitudes qui étaient autrefois "normales". L'éducation est précieuse pour de nombreuses raisons, mais l'une des plus importantes est qu'en gravissant les échelons du leadership, nous pouvons apporter des changements et détruire les anciennes habitudes.

Si je peux dire quelque chose, c'est que lorsque nous devenons des leaders, nous pouvons soutenir d'autres femmes et mettre fin aux abus avec autorité. Ces derniers mois, nous avons également constaté une augmentation de la violence à l'égard des femmes dans la sphère politique et, également, la normalisation de la société à attaquer ceux avec qui ils ne partagent pas l'idéologie. Cette augmentation s'est également produite à domicile, en raison de l'enfermement résultant de la pandémie. C'est le moment idéal pour parler de cette question et pour promouvoir, avant tout, l'estime de soi et l'autonomisation des femmes. Les taquineries ne sont pas normales, les attaques sur les réseaux ne sont pas normales et bien sûr les coups ne sont pas normaux. Nous avons un long chemin à parcourir pour rééduquer les hommes et les femmes.

Les premiers pour qu'ils cessent de percevoir leur partenaire comme un objet leur appartenant et appartenant aux femmes, pour qu'ils ne normalisent pas les relations abusives, pour qu'ils ne voient pas le harcèlement ou la jalousie comme des signes d'amour. Espérons qu'un jour, nous serons une société capable de reconnaître les signes d'un agresseur et de défendre les personnes qui sont à nouveau victimes de relations abusives. Pour cela, nous devrons améliorer nos processus éducatifs et réévaluer les valeurs que la société a imposées pendant des années.

Réfléchissons dans les espaces qui nous sont proches et générons des changements, car la prochaine victime pourrait être une fille, une nièce ou quelqu'un que nous aimons profondément.

Et parce que l'auteur du crime peut aussi être quelqu'un que nous aimons mais que nous ne pouvons pas sauver. Claudia Ramírez, La Prensa Gráfica, 22/11/2020 Comentaire : Las mujeres siempre han sido discriminadas y sexistas en el mundo.

Con el tiempo, estas discriminaciones han cambiado y evolucionado en función de la sociedad en la que viven las mujeres, pero aún persisten. En los países en desarrollo, las mujeres son especialmente vulnerables a la discriminación.... »