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ESPIGAS

Publié le 16/09/2014

Extrait du document

 

El trigal se ha entregado a la muerte.

Ya las hoces cortan las espigas.

Cabecean los chopas hablando

con el alma sutil de la brisa.

El trigal sôlo quiere silencio.

Se cuajô con el sol, y suspira

por el ampli° elenaento en que moran

los ensuerms despiertos.

El dia,

ya maduro de luz y sonido

por los montes azules declina.

è Qué misterioso pensamiento

conmueve a las espigas ?

è Qué ritmo de tristeza sofiadora

los trigales agita ?

j Parecen las espigas viejos pajaros

que no pueden volar !

Son cabecitas,

que tienen el cerebro de oro puro

y expresiones tranquilas.

Todas piensan lo mismo,

todas llevart

un secret() profundo que meditan.

Arrancan a la tierra su oro vivo

y cual dulces abejas del sol, Iiban

el rayo abrasador con que se visten

para formar el alma de la harina.

j Oh, qué alegre tristeza me causais,

dulcisimas espigas !

Venis de Jas edades mas profundas,

cantasteis en la Biblia,

y tocais, cuando os rozan los silencios, un concierto de liras.

« 3 é Qué son, vistas par Federico, sucesivamente las espigas ? 4 é A qué corresponde el cambio de tono después de la segunda estrofa ? 5 Recapacitando lo que antecede, comente la n alegre tristeza )1.

6 r:· Qué mensaje espiritual llevan en si las espigas y c6tno ((al roce de los silencios 11, 1' tocan un concierto de liras ,, ? EJERCICIO GRAMATICAL Je faisais le service de mon mieux, mais j'étais surtout bon à frotter les parquets.

Moi, je vais vous porter ; je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi.

J'avais pour guide un paysan qui marchait à mon côté, par un tout petit chemin.

Cependant Miraut, rongé par un souci tenace, dévoré par le cha­ grin, maigrissait de plus en plus.

Au moment où le navire fut sur le point de s'engager dans le Bos­ phore, il se produisit un curieux incident.

Si maître qu'il soit de lui dans toutes les circonstances, chaque fois qu'il aperçoit de l'argent, le sang lui saute à la gorge.

D'avoir tordu le long du sentier les brins de genêt qui me frô­ laient les mains, mes doigts sont restés âcres et verts.

Nous avions beau nous serrer tous ensemble sous nos capotes pour ne rien perdre de notre chaleur animale, le froid pénétrait de partout nos dispositifs les plus ingénieux et nous faisaient claquer des dents.

TEMA Le labour.

- A l'autre extrémité de la plaine labourable, un jeune homme de bonne mine conduisait un attelage magni­ fique : quatre paires de jeunes animaux à robe sombre mêlée de noir fauve à reflets de feu, avec ces têtes courtes et frisées qui sentent encore le taureau sauvage, ces gros yeux farouches, ces mouvements brusques, ce travail nerveux et saccadé qui s'irrite encore du joug et de l'aiguillon et n'obéit qu'en fré­ missant de colère, à la domination nouvellement imposée.

C'est ce qu'on appelle des bœufs « fraîchement liés ».

J ...

'homme qui les gouvernait avait à défricher un coin naguè:i;-e abandonné au pâturage et rempli de souches séculaires, travail d'athlète auquel suffisaient à peine son énergie, sa jeunesse et ses huit animaux quasi indomptés.

G.

SAND La Mare au Diable -37 -. »

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