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FISONOIVIM DE LA SOCIEDAD COLONIAL

Publié le 16/09/2014

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FISONOIVIM DE LA SOCIEDAD COLONIAL

Al finalizar el siglo XVIII, la sociedad colonial ha cobrado nueva fisonornia. Fueron varios los elementos basicos de aquel m'ide° humano ; ese encomendero (i) rapaz y violento que después de todo cra, por su misma fuerza de caracter, un hombre del porvenir, dejô su marca en aquella evoluci6n socio-16gica. La inujer, eterna conservadora de las energias vitales, puso el sello noble y duradero de sus hondas virtudes sobre la instituciOn del nuevo hogar. Ella hizo mas amable y mâs dulce la vida aspera de los comienzos, y clio a la familia ame-ricana que alli se formaba, el tesoro heredado de los grandes sentimientos y de la ética ; el fraile misionero o el sacerdote, que lucharon por morigerar la violencia pasional de los primeros conquistadores, fueron alli un factor de equilibrio y de disci­plina. El mestizo, fruto extrafio de la tierra, se movia en capas inferiores de aquel mundo, no por resignada agonia, como el indio, sino por absoluto divorcio animico con el mundo espariol. El espariol es grave y el indio es triste, pero cl mestizo, cuando no es torvo es alegre y decidor hasta lo sardônico. Su trayectoria corriô paralela a la de este grupo hispano que serioreaba la tierra, sin que intentara unificarse a su destino.

Pero aquelios hombres que aprendieron a amar la tierra trabajando sobre dia y haciéndola mas hermosa ; aquellas madres que vieron sobre elles crecer a sus hijos, estaban modelando entre ambos al hombre nuevo : al americano.

Juan Pablo Ecriacti-E

 

Tradiciones, leyendas y cuentos argentinos (Colecciem Austral)

« EJERCICIO GRAMATICAL l\.foi, je suis un pauvre !:ère, tandis que lui est tout puissant.

Cc que lui ne voulut pas dirf', je h· dirai moi, n1êmc s'il ni 'en cofttc.

0 1non pays, plus tu rl.evicns célèbre, plns nous t'aimons.

C'est lui qui t'a tiré de ce mauvais pas et non 1noi.

,Vous, l airc de cette ville, nous infonnons la population que la circulation sera interdite dans Ja Grand-H.uc, dcn1ain toute la journéc.

C'est 1'ous, Seigneur, qui lui avez accordé cette faveur.

Si je nie mets au travail, lui court s'a1nuscr.

Je voulais passer les vacances en 1nontagnc, elle Youlait se reposer au bord d'une plage.

TEMA Lima et les philosophes français.

- L'avène1ncnt de la dynastie des Bourbons avait contribué à alléger les mœurs de la société liméniennc.

Madrid, en effet, depuis Philippe V, était devenue le relais de la coquetterie française entre Paris et Lima.

Tviais ce n'était pas seulement de perruque et de talon rouge que Lima se montrait friande.

Une autre marchandise, invisible et subtile, passait à la barbe des douaniers : les idées ! La toquade des Liméniens n'était pas seulement de s'habiller français, mais aussi de penser français.

Qui aurait imaginé que les graves docteurs de l'Université de San Marcos, fatigués de gloser sur Aristote, accueilleraient avec enthousiasme le message de !'Encyclopédie ? Et pourtant, cela était.

Les lettrés créoles faisaient leurs délices, un peu en cachette, à cause de l'Inquisition, de Voltaire et de Rousseau.

Il n'était pas jusqu'à l'évêque de Quito lui-même qui ne craignit d'avouer : « Chaque jour qui passe me fait regretter davantage le temps que me iit perdre l'éducation barbare que me donnèrent les ergoteurs jusqu'à l'âge de vingt et un ans.

i> Éducation barbare ? Le mot est fort sous la plume d'un prélat.

Et le Mercurio peruano i), organe de la nouvelle génération, proclamait la souveraineté de la raison libre et l'exercice de la nouvelle science, tout en condamnant la philosophie scolastique « qui avait infesté les siècles barbares de 1' obscurité et des ténèbres i>.

Jean DESCOLA La Vie quotidienne au Pérou au Temps des Espagnols, IJIO-r820 - 206 -. »

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