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LA HUERTA Y LOS HUERTANOS

Publié le 16/09/2014

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LA HUERTA Y LOS HUERTANOS

Atravesando la vega en las horas de mas sol, cuando ardia la atm6sfera y moscas y abejorros zumbaban pesadamente, sentiase una impresidn de bienestar ante esta barraca limpia y fresca. El corral delataba, a través de sus bardas de barre y estacas, la vida contenida en él. Cloqueaban las gallinas, cantaba el gallo, saltaban los conejos per las sinuosidades de un grau montén de lefia tierna, y vigilados por los dos hijos pequeflos de Teresa, flotaban los ànades en la vecina acequia y corre-teaban las manadas de polluelos por los rastrojos, piando incesantemente, moviendo sus cuerpecillos sonrosados, cubiertos apenas de fino plumôn.

« COMENTARIO 1 c' Qué es una barraca valenciana ? 2 c· C6mo la descripci6n del corral compnœba la « imprcsi6n de bienestar n ? 3 é Cômo el novelista, en la descripciôn de Teresa contando su tesoro asi cotno en el mon6logo que le supone, expresa el genio ahorrativo de la madYe ? 4 ( Qué ·virtudes de ca1npesino trascienden del retrato de su marido Batiste ? 5 r:· A qué aconteci1niento histôrico alude la ûltilna frase ? EJERCICIO GRAMATICAL Le petit garçon de cinq ans, entendant ce Yacarme au-dessus de sa tête, poussa du coude son frère ainé.

Je tne sentis très las en arrivant au sommet de la montagne.

Parfois, en rentrant de l'école, je trouvais maman moins triste, \'o:!il plus vif, les traits détendus.

Antoine ne put se défendre de sourire en voyant le petit homme s'aventurer en ~autilla11t sur le parquet ciré du \·estîbule.

A la nouvelle de cet éYenernent, les AustrasiPns se hâtèrent de plier bagage.

Il n'v a pas un être civilisé qui, en se levant le matin, ne reconnaisse la souveraineté de l'arg1;1nt.

En achevant ces mots, il me rit au nez et s'en alla.

TEMA Les légumes aux Halles.

- Les salades, les laitues, les sca­ roles, les chicorées, ouvertes et grasses encore de terreau, mon­ traient leurs cœurs éclatants.

Les paquets d'épinards, les paquets d'oseille, les houquets d'artichauts, les entassements de haricots et de pois, les empilements de romaines liées d'un brin de paille, chantaient toute la gamme du vert, de la laque verte des cosses au gros vert des feuilles ; gamme soutenue qui allait en se mourant, jusqu'aux panachures des pieds de céleris et des hottes de poireaux.

Niais les notes aiguës, ce qui chantait le plus haut, c'{·taient les taches vives des carottes, les taches pures des navets, semées en quantité prodigieuse le long du Inarché, l'éclairant du hariolage de leurs deux couleurs.

Émile ZOLA Le 1 'entre de Paris - 61 -. »

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