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mitos y heroes

Publié le 04/02/2015

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Mitos y Héroes E elegí de presentar os la noción mitos y héroes. Antes de todo, voy a definir lo que es un mito y un héroe. Un mito, es una historia que se transmite primero oralmente que es a menudo encarnado por un héroe, un lugar o una comunidad. Un mito tiene un carácter universal, que permite de poner en evidencia la manera en que cada cultura interpreta la condición humana. El héroe puede ser un personaje ficticio o real que marca la tradición, la historia o la vida cotidiana. La cultura popular produce sus propios héroes. . Voy a utilizar tres documentos par ayudar me e ilustrar mis argumentos con ejemplos. El primero es un documento sobre un artista : Miguel Ángel Estrella, el secundo es un documento sobre la provocación artística y el ultimo es un extracto de texto que habla de las voces que lucharan contra Franco. A través estos documentos podemos interrogar nos para saber si los artistas comprometidos son héroes o no. Para empezar, voy a presentar la historia de Miguel Ángel Estrella. Miguel Ángel Estrella es un pianista que se opuso a la dictadura de Argentina después el golpe de estado en mil nove cientos sesenta y seis. Durante este periódica, e a través el plan Condor, Miguel Ángel Estrella fue torturad...

« Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette.

Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux. Lui, gagnant à pas lent une roche élevée, De son aile pendante abritant sa couvée, Pêcheur mélancolique, il regarde les cieux. Le sang coule à longs flots de sa poitrine ouverte; En vain il a des mers fouillé la profondeur; L'océan était vide et la plage déserte; Pour toute nourriture il apporte son cœur. Sombre et silencieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses fils ses entrailles de père, Dans son amour sublime il berce sa douleur; Et, regardant couler sa sanglante mamelle, Sur son festin de mort il s'affaisse et chancelle, Ivre de volupté, de tendresse et d'horreur. Mais parfois, au milieu du divin sacrifice, Fatigué de mourir dans un trop long supplice, Il craint que ses enfants ne le laissent vivant; Alors il se soulève, ouvre son aile au vent, Et, se frappant le cœur avec un cri sauvage, Il pousse dans la nuit un si funèbre adieu, Que les oiseaux des mers désertent le rivage, Et que le voyageur attardé sur la plage, Sentant passer la mort se recommande à Dieu.

Poète, c'est ainsi que font les grands poètes. Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur ; Leurs déclamations sont comme des épées : Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant; Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang.. »

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