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Analyse Comparative Le Cobeau Cage D'oiseau

Publié le 06/09/2018

Extrait du document

Bien qu’il soit facile de constater que les deux auteurs utilisent l’image d’un oiseau pour personnifier la mort, on peut sentir une différence de rythme autant dans la succession des paragraphes que dans les actions qui s’enchainent pour mener à la fatalité. (Ce n’est pas un argument) Cependant, après une étude de l’œuvre plus approfondie, je (la première personne du singulier n’est pas requise dans une dissertation) crois que les deux poèmes se distinguent par les différents visages que les auteurs donnent à la fatalité (P) et cela se remarque principalement dans le champ lexical. (Ce n’est pas non plus un argument) Tout d’abord, chez Garneau, les termes sont concentrés autour de l’espace clos, la cage, le nid et ce qui définit l’oiseau. Du côté de Nelligan, le lexique décrit des endroits des plus vastes et variés comme la « lande »(L.2) et les « montagnes » (L.3). De plus, les termes pour illustrer la mort sont plus lugubres et les exemples sont multiples : « funèbres »(L.2), « carcasses » (L.6), « ténèbres » (L.7), « tombeaux » (L.5) et « charogne »(L.13), pour n’en citer que quelques-uns. Je crois donc que malgré les ressemblances, les deux auteurs perçoivent la fatalité de façon différente.

« mêmes erreurs.

Il faudra retourner à l’enseignement qui est fait dans le Texte de cours et poser des questions précises.Bien qu’il soit facile de constater que les deux auteurs utilisent l’image d’un oiseau pour personnifier la mort, on peut sentir une différence de rythme autant dans la succession des paragraphes que dans les actions qui s’enchainent pour mener à la fatalité.

(Ce n’est pas un argument) Cependant, après une étude de l’œuvre plus approfondie, je (la première personne du singulier n’est pas requise dans une dissertation) crois que les deux poèmes se distinguent par les différents visages que les auteurs donnent à la fatalité (P) et cela se remarque principalement dans le champ lexical.

(Ce n’est pas non plus un argument) Tout d’abord, chez Garneau, les termes sont concentrés autour de l’espace clos, la cage, le nid et ce qui définit l’oiseau.

Du côté de Nelligan, le lexique décrit des endroits des plus vastes et variés comme la « lande »(L.2) et les « montagnes » (L.3).

De plus, les termes pour illustrer la mort sont plus lugubres et les exemples sont multiples : « funèbres »(L.2), « carcasses » (L.6), « ténèbres » (L.7), « tombeaux » (L.5) et « charogne »(L.13), pour n’en citer que quelques-uns.

Je crois donc que malgré les ressemblances, les deux auteurs perçoivent la fatalité de façon différente.. »

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