Analyse de l'Attrappe-coeur de J.D. Salinger

« âge adulte selon fantasmes + comme pouvons effectivement constater : citation + focalisation interne de la narration démontre juste un fantasme présente son point de vue sans écouter autres protagonistes, + dans sa peur responsabilités rêve de vie adulte sans tracas mais irréalisable. En somme : via analogie et énonciations voyage, Holden démontre peur de faire face aux responsabilités âge adulte.

De même, peur responsabilités démontre diff .

à faire le deuil de l'enfance.   Analyse   Dans le livre L'attrape-coeur de J.D.

Salinger nous pouvons affirmer que Holden Caulfield éprouve de la difficulté à faire le deuil de l'enfance. D'une part, Holden place l'enfance sur un piédestal comme une époque d'amusement qui devrait durer infiniment, c'est pourquoi il éprouve de la difficulté à en faire le deuil.

Ainsi, Holden explique comment il souhaiterait préserver des personnes comme on préserve des statues dans une vitrine.

C'est ce sentiment qui prouve son désir de maintenir l'enfance éternelle.

En outre, nous pouvons le constater  dans l'extrait suivant : « Ce qui était extra dans ce musée c'est que tout restait toujours exactement pareil [...] Rien ne serait différent. Rien, excepté vous.

Vous seriez différent.

Certainement pas beaucoup plus vieux.

[...]Y a des choses qui devraient rester comme elles sont.

Faudrait pouvoir les flanquer dans une de ces grandes vitrines et plus y toucher.

Je sais que c'est impossible mais, bon c'est bien dommage.» (p.

148-149).

Puisque les champs lexicaux de cette citation énoncent la fuite du temps, le bonheur et le passé, nous pouvons identifier une tonalité lyrique.

En d'autre terme, le narrateur vise à toucher le lecteur par l'expression de ses aspirations c'est-à-dire préserver les événements dans le temps en comparant la vie à un musée.

Par ailleurs, Holden a exprimé le désir de protéger les enfants de l'âge adulte ce qui démontre encore que l'enfance est valorisée en tant que période qui devrait être éternelle.

Le passage ci-après l'explique plus clairement : «Bon.

Je me représente tous ces mômes qui jouent à je ne sais quoi dans le grand champ de seigle et tout [...] Et moi je suis planté au bord d'une saleté de falaise.

Ce que j'ai à faire c'est attraper les mômes s'ils approchent trop près du bord.

Je veux dire qu'ils courent sans regarder où ils vont, moi je rapplique et je les attrape» (p.208).

Pour. »