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Au travers de ses personnages Raymond Queuneau propose une réflexion sur l’ambiguïté masculin/féminin dans la société.

Publié le 14/09/2018

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Gabriel n’est pas, à l’inverse de Zazie, un personnage avec force de caractère. Sa force il la tire de son allure et R.Queuneau marque de nouveau un choc en travestissant la figure de l’homme fort en homme danseuse exotique. Il casse le principe du simple personnage qui se veut protecteur, il se retrouve à l’opposé de son genre comme pour Zazie. Gabriel est le colosse, mais c’est un colosse artiste, sensible, poète et philosophe. Son monologue nous séduit par son verbe et nous impressionnes, ce contraste fort/travesti augmente la dimension du personnage de littérature. Ce contraste à la même fonction que le contraste de Zazie, il donne un côté comique et burlesque aux scènes de Gabriel. Le comportement de Gabriel est inattendu et se révèle quasiment imprévisible, figue de l’adulte il boit du sirop de grenadine. Quand sa trousse de maquillage est abimé il en vient à pleurer et se fait réconforter comme un enfant par sa femme. R.Queuneau joue sur l’ambiguïté et on ne peut deviner les prochaines réactions des deux héros.

Nous remarquons que ces personnages on comme but premier de relever un contenu burlesque et révolutionne le genre de personnage littéraire. Zazie et Gabriel on cette double facette pour surprendre le lecteur plus que pour critiquer la société. Dans le livre les mœurs ne sont pas attaqués par les protagonistes, elles sont simplement utilisé vulgairement ou à l’opposé du personne qui les utilise pour avoir une dimension choquante et inattendu. R.Queuneau se veut surtout révolutionnaire dans le genre de personnage littéraire et quasiment absent dans la critique de la société même si elle reste un tout petit peu présent dans l’œuvre. Ces cotés ambigu sont le moteur de ce roman et c’est ce qui lui donne sa force de caractère. Pour conclure ce côté double facette présente dans les deux héros se révèle être présente pour révolutionner le genre de personnage littéraire qu’une simple critique de société.

« déviances sexuelles qui sévissent dans le quartier de Pigalle.

Le fait de narrer un personnage très masculin qui oublie sont rouge à lèvres nous interpelles ou d’imaginer Gabriel habiller en femme avec une robe et des talons.

Ces images opposée frappe le lecteur et commence à réfléchir sur les problèmes de son temps.Nous allons porter un regard autre sur les personnages du roman, ces différences entre maturité/corps d’enfant et colosse/travesti présent dans Zazie et Gabriel ne sont-ils pas là dans un but plutôt de critique de personnage littéraire.

Si l’on s’attarde sur Zazie et que nous nous imaginons une fille banales le personnage devient par la même occasion normale et donc fade.

Le fait de faire parler une adulte au travers d’un corps d’enfant sublime la dimension du personnage et créer un caractère nouveaux.

Chaque frasque de Zazie est présente pour interpeler le lecteur et celui-ci ne peut qu’être surpris pars les prochaines remarque de Zazie, la dimension d’imprévu est très prononcer et ce personnage représente une révolution de l’enfant de littérature.

Le discours de Zazie est libre et ce veut à l’inverse des valeurs traditionnelles.

Elle représente le détachement mais surtout un front contre toutes valeurs et autorités, c’est une enfant politique qui rêve d’une autre société. Gabriel n’est pas, à l’inverse de Zazie, un personnage avec force de caractère.

Sa force il la tire de son allure et R.Queuneau marque de nouveau un choc en travestissant la figure de l’homme fort en homme danseuse exotique.

Il casse le principe du simple personnage qui se veut protecteur, il se retrouve à l’opposé de son genre comme pour Zazie.

Gabriel est le colosse, mais c’est un colosse artiste, sensible, poète et philosophe.

Son monologue nous séduit par son verbe et nous impressionnes, ce contraste fort/travesti augmente la dimension du personnage de littérature.

Ce contraste à la même fonction que le contraste de Zazie, il donne un côté comique et burlesque aux scènes de Gabriel.

Le comportement de Gabriel est inattendu et se révèle quasiment imprévisible, figue de l’adulte il boit du sirop de grenadine.

Quand sa trousse de maquillage est abimé il en vient à pleurer et se fait réconforter comme un enfant par sa femme. R.Queuneau joue sur l’ambiguïté et on ne peut deviner les prochaines réactions des deux héros. Nous remarquons que ces personnages on comme but premier de relever un contenu burlesque et révolutionne le genre de personnage littéraire.

Zazie et Gabriel on cette double facette pour surprendre le lecteur plus que pour critiquer la société.

Dans le livre les mœurs ne sont pas attaqués par les protagonistes, elles sont simplement utilisé vulgairement ou à l’opposé du personne qui les utilise pour avoir une dimension choquante et inattendu.

R.Queuneau se veut surtout révolutionnaire dans le genre de personnage littéraire et quasiment absent dans la critique de la société même si elle reste un tout petit peu présent dans l’œuvre.

Ces cotés ambigu sont le moteur de ce roman et c’est ce qui lui donne sa force de caractère.

Pour conclure ce côté double facette présente dans les deux héros se révèle être présente pour révolutionner le genre de personnage littéraire qu’une simple critique de société.. »

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