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Bapteme du feu de Fabrice Del Dongo

Publié le 22/08/2013

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Baptême du feu de Fabrice dans la chartreuse de Parmes, analyse linéaire Faits de langue interprétations 1er mouvement « Tout à coup, partit, Grand galop « Phrase simple Passé simple Le choix du vocabulaire souligne la rapidité de l'action. Les événements vont s'enchainer si vite que Fabrice « n'y comprenait rien du tout « Phrase courte et utilisation des passés simples qui renforcent/miment la rapidité de l'action >Vision cinématographique « on « Qui se cache derrière ce pronom ? Fabrice et les autres soldats, on se retrouve projeté sur le champ de bataille, c'est Fabrice qui parle, le narrateur est « exclu « Le narrateur nous fait participer à l'action >« Début « in medias res « Façon singulière « Chp lexical de l'agriculture/de la terre Quelle est la première perception (réaction) de Fabrice lors de cette bataille ? Une impression « singulière «, repris par « effet singulier « Ce n'est ni le bruit, ni le mouvement dense d'une bataille, ou bien encore la peur d'être tué qui le frappent, c'est d'abord une impression visuelle qui n'est en rien la guerre : de la terre Les mots labourés, sillons ne st pas métaphoriques, c'est la réalité de la vision de Fabrice. Il assiste à une bataille pour la première fois, il ne sait pas ce que c'est mais il est d'une famille paysanne, il sait ce qu'est une terre labourée. Notons la description très précise...

« fiction‘’, un lecteur doit être de toute docilité.

Cependant, les livres de ‘’non-fiction’’ nous enseignent des réalités. L’histoire, enseignée dans des livres ou par un professeur, nous donne des exemples d’erreurs que nos ancêtres ont pus commettre, ou les exploits que ceux-ci ont accomplis. Grâce à l’histoire enseignée, nous pouvons nous offrir la possibilité d’éviter ces erreurs, ainsi, nous pouvons donc construire notre société sur les siècles de réflexions et d’exemples (bon ou mauvais).

Il en est de même pour l’histoire des religions, qui nous permet d’exercer notre sens critique.

Elle enseigne aussi des valeurs morales qui sont indispensables à notre bien-être, comme le respect, le partage, et autres valeurs. La philosophie, souvent vu comme quelque chose de farfelue, est pourtant très utile à la création de l’humanité, des modèles ont été régis par les plus grand philosophes tels Socrate, Platon et autres. Socrate par exemple nous a appris l’art de la maïeutique, c’est une forme d’enseignement dans laquelle la communication est mise en avant.

Nous devons apprendre les choses par le dialogue, l’élève va alors poser des questions de par lui -même et comprendra ainsi plus facilement le déroulement de celle-ci. La philosophie est pourtant une science, alors pourquoi donc les autres sciences seraient-elles misent de côté pour fonder une humanité meilleure ? Pourquoi Martha Nussbaum, les rejette-t-elle alors ? Les mathématiques, consentissent à développer notre sens de la réflexion, ainsi que notre logique.

Il est vrai que chaque élève se pose la même question existentielle à leurs yeux, « à quoi servent les Maths ? Si ce n’est que pour nous rajouter des heures de cours ? ».

Mais avec quelques années de réflexions et une maturité grandissante, nous pouvons accepter le fait que celles-ci font fonctionner les plus petites connexions de notre cerveau et donc, nous permettent plus de réflexion, de sens logique et finalement plus de sens critique. Les Sciences, domaine très large, qui englobent toutes sortes de questionnements, passant de la physique, des plus mathématiques, aux sciences humaines, des plus illogiques.

La philosophie en fait donc partie. La biologie nous enseigne toutes les parties du corps humain, et surtout les maladies et les traitements. La chimie, dans tous ses aspects, nous permet d’analyser au plus précis possible, les situations, et ainsi nous aide à trouver des traitements aux maladies comme celle du SIDA. La physique, comme les mathématiques ouvre notre réflexion aux problèmes.. »

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