Tyra MBOMBUE 2nde Mozart

« de la société, en dépit de sa situation financière.

Il cache donc sa pauvreté aux autres, même si celle-ci reste apparente, et se construit le profil d’un homme de la haute société. Pour clore cette partie, Georges Duroy veut tout, toujours plus grand, et veut gravir les échelons de la société pour enfin de venir quelqu'un.

Il est déterminé à être parmi les hommes riches du monde en bluffant et cachant sa vraie nature aux autres. Dans le but de compléter notre développement, nous allons maintenant nous centrer sur les obstacles de Georges Duroy à son ascension. À la ligne (6-7-9), « gargote » et « Notre Dame de Lorette » correspondent à des cadres spatio-temporels populaires.

Georges est représenté comme un héros qui évolue en milieu modeste et réaliste.

Le lecteur est par conséquent propulsé dans l’effet de réel du XIXème siècle. À la ligne (1-11-12) ; « monnaie », « trois francs quarante » et « vingt centimes » font partie du champ lexical de l’argent.

On se rend compte de l’importance de ce thème dans ce roman.

D’après l’incipit Georges Duroy est un héros pauvre et cette situation contraste lourdement avec son ambition. À la ligne 28, « il ressemblait bien au mauvais sujet des romans populaires » est une description péjorative de Georges Duroy.

Son aspect inquiétant est donc mis en évidence. En conclusion, Georges Duroy a cette ambition de monter dans la société mais sa situation financière et son statut social populaire font qu’il n’a donc pas de relations pour l’aider à atteindre son but.

Il est donc freiné dans sa course. Cependant, sa brutalité lui fera également obstacle.

Car s’il veut devenir un homme du homme, il devra apprendre à se comporter comme tel. À la ligne 5, « un de ces regards de joli garçon qui s’étendent comme des coups d’éperviers » est une comparaison du regard de Georges Duroy à des coups d’animal prédateur.

On ressent donc dans son attitude une sorte d’intimidation et d’attaque envers les autres.

Il cherche à nous faire comprendre qu’il est au dessus de nous, et de la société. À la ligne 20 ; « brutalement », « heurtant » et « poussant » font partie du champ lexical de la violence.

Ceci traduit une violence quotidienne de Georges Duroy envers les autres.

Dans le texte il avance dans la rue heurtant et poussant les gens brutalement qui le dérange de sa route, ce qui traduit son état d’esprit.

Il n’a que faire des conséquences de ses actes, il continuera d’avancer vers son but en se débarrassant sans rancune des gens qui le dérange dan son ascension.

À la ligne (23-24), « défier » et « soldat » font partie du champ lexical du combat.

La vie est donc pour Georges Duroy un champ de bataille où il faut constamment se battre pour obtenir ce que l’on veut.

Pour tirer cette partie à sa fin, Georges Duroy a de grandes ambitions dans la vie, mais le milieu populaire d’où il vient lui fera titre d’obstacle.

Principalement en raison de ses maigres revenus, qui l’empêche d’adopter le style vestimentaire d’un homme du monde, mais également la brutalité qu’il a développé et qui l’écartera des bonnes manières sociales de la haute société.

D’après notre analyse, nous pouvons désormais répondre à notre problématique : En quoi Georges Duroy apparaît-il comme un héros ambivalent ? Georges Duroy apparaît comme un héros ambivalent car il possède une beauté physique attirant les femmes bourgeoises en quête d’amour ou d’un amant.

Il est donc facile pour lui d’obtenir de ces femmes quelque chose en contre partie.

Sa débordante ambition de pouvoir, de richesse et de puissance le feront également monter rapidement dans la société.

Il a donc de réels atouts pour devenir quelqu'un, mais de nombreux freins à cette évolution.

Le fait qu’il vienne d’un quartier populaire la rendu brutal dans. »