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Candide : Analyse du livre

Publié le 17/05/2013

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Candide ou l'Optimisme Candide a été publié en 1759. C'est une période pénible pour Voltaire (guerre de 7 ans entre la France et la Prusse très meurtrière). Il y également eu un tremblement de terre très dévastateur à Lisbonne en 1755 qui l'a beaucoup marqué. Candide est une réflexion sur le mystère du mal et sur comment concilier l'existence du mal sur terre avec l'existence de Dieu. Candide est publié simultanément à Genève, en Angleterre et en France. Candide est présenté comme un ouvrage traduit de l'Allemand par le Dr Ralph. Les romans, à l'époque, ne sont pas signés. Les romans sont superficiels, contrairement au théâtre considéré comme bien supérieur. Ce conte philosophique est basé, comme le signale son nom, sur le personnage principal qui se nomme Candide. Ici, le lecteur est le spectateur de l'évolution du caractère et de la réflexion de Candide. Tout au long de ce roman, qui est en réalité un conte philosophique, Voltaire critique i...

« auprès des  élites, s'engageant dans des causes c élèbres. Il est toutefois embastill é et   contraint  à l'exil et trouve refuge  à Ferney en Suisse. Bibliographie: Œdipe (1718), La Henriade (ou La Ligue, 1723), Brutus (1730), L'Histoire de   Charles XII (1731), Za ïre (1732), Ep îtres  à Uranie (1733), Lettres philosophiques (1734), La   mort de C ésar (1735), Discours sur l'homme (1738), Zadig (1747), Nanine (1749), Le si ècle   de Louis XIV (1751), Microm égas (1752), La Pucelle d'Orl éans (1752), Essai sur les mœurs   et l'esprit des nations (1756), Candide (1759), Trait é sur la tol érance (1763), Dictionnaire   philosophique (1764), Jeannot et Colin (1764), L'ing énu (1767), La princesse de Babylone   (1768).  Genèse de l’œuvre: La pr ésente  étude ne consid ère pas   Candide   comme une œuvre philosophique, mais   comme un roman. Voltaire a toujours profess é que l'imagination ne cr ée pas, mais ne fait   qu'arranger ce que lui fournit la m émoire; nous avons donc recherch é quels  événements   personnels lui avaient fourni le sch éma de son histoire, quels personnages rencontr és lui   avaient inspir é ses h éros. Nous n'avons retenu comme significatives que les donn ées qui se   rattachent  à des ensembles, parmi lesquels nous avons privil égié celui qui s'organise autour   du lieu fondateur, Thunder­ten­Tronckh, transposition satirique du ch âteau de B ückeburg.

  C'est l à que Voltaire a rencontr é Henri Le Ma ître, chapelain du lieu, dont il fera Pangloss, et   Mme Bentinck, la ‘franche westphalienne' qui pr êtera des traits  à Cun égonde; c'est l à aussi   que fut  évoqu é Fr édéric II, qui passera dans le second chapitre du roman sous le nom du   ‘roi des Bulgares'. Ce ‘fonds m émoriel' de B ückeburg/Thunder­ten­Tronckh fournit la mati ère   des quatre premiers chapitres. Le chapitre 5  étudie le processus par lequel le jeu de r ôles   entre Voltaire et Mme Bentinck finit par rejoindre  à la fois le roman et la r éalit é. C'est un   nouvel aspect du romancier qui se profile ainsi derri ère le philosophe.. »

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