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Comedie de caractere au 17eme siecle

Publié le 17/04/2013

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Mini dossier : Yaniss Perez la comédie de caractère. Catherine Sauval (Céliméne) et Simon Eine (Alceste) dans le Misanthrope, mise en scéne par Simon Eine 1989 Notre objet d'étude portant sur la comédie de caractère au siècle de Molière ; il paraît important d'encré la pièce dans le temps et de définir la comédie de caractère. La piéce écrite par Molière ou Jean-Baptiste Poquelin ; appartient au mouvement du classicisme qui fait alors office de réel propagande au service du Roi louis XIV qui compte mette fin aux ambitions des nobles qui réclament plus de pouvoir et d'influence. Ainsi le 10 Mars 1661 il annonce qu'il gouvernera seul par la phrase : « Le Roi, c'est moi ! «, le classicisme va de pair avec cette affirmation de l'absolutisme royal : « Il faut encadrer les arts pour qu'ils contribuent à la puissance royale. La comédie de caractère vise à dénoncer les travers de la société «. La comédie de caractère met en scène des personnages ayant un défaut particulier et les dénonce, comme dans d...

« décorateur, parfois un po ète à gages. Elle s'installait dans un jeu de paume ou dans un «d écorateur, parfois un po ète à gages. Elle s'installait dans un jeu de paume ou dans un «    h ôtelhôtel    » pour donner ses repr ésentations. La» pour donner ses représentations. La    troupe reprenait ensuite les grands chemins pour regagner les provinces. Mais dans la seconde moiti é, m ême si Paris ne poss èdetroupe reprenait ensuite les grands chemins pour regagner les provinces. Mais dans la seconde moiti é, m ême si Paris ne poss ède    qu'une seule salle de th éâtrequ'une seule salle de théâtre    : l'H ôtel de Bourgogne, alors occup ée par la Troupe Royale. C'est Louis XIII qui, permettant  à la troupe: l'H ôtel de Bourgogne, alors occup ée par la Troupe Royale. C'est Louis XIII qui, permettant  à la troupe    de prendre ce nom, donna aux com édiens une situation officielle privil égiée. La Troupe Royale fait d'abord dans la farce, rendantde prendre ce nom, donna aux com édiens une situation officielle privil égiée. La Troupe Royale fait d'abord dans la farce, rendant    ainsi c élèbres Bellerose, Floridor, Montfleury ou encore Moli ère.ainsi c élèbres Bellerose, Floridor, Montfleury ou encore Moli ère. Peu  à peu, d'autres troupes s'installent dans d'autres H ôtels de ParisPeu  à peu, d'autres troupes s'installent dans d'autres H ôtels de Paris    : le th éâtre du Marais (1600­1673) sous la direction du: le théâtre du Marais (1600­1673) sous la direction du    trag édien Mondorytragédien Mondory    ; la troupe de Moli ère (1658­1680) au Petit­Bourbon – puis au Palais­Royal, b âti par Richelieu –; la troupe de Moli ère (1658­1680) au Petit­Bourbon – puis au Palais­Royal, b âti par Richelieu –    ; la Com édie­; la Comédie­ Fran çaise (1680), issue de la fusion des troupes de l'H ôtel Gu énégaud et de l'H ôtel de Bourgogne par ordre du roi. Les scenes  étaientFran çaise (1680), issue de la fusion des troupes de l'H ôtel Gu énégaud et de l'H ôtel de Bourgogne par ordre du roi. Les scenes  étaient    g énéralement petites et  éclaires a la bougie.g énéralement petites et  éclaires a la bougie. La scène était petite et éclairée par des chandeliers fixés au mur et par des lustres. Il n'y a pas plus de réalisme dans les décors que pour les costumes.

Les décors simultanés étaient utilisés au début du siècle, mais l'arrivé de la règle des trois 'unité (1674) celle de lieu amena l'unité de décor, d'où les faibles informations scéniques des auteurs, telle que " la scène est à Rome " dans Cinna de Pierre Corneille. Si la troupe avait de l’argent, les décors et les costumes pouvaient être très beaux mais ils n’étaient pas réalistes ou historiques car il fallait faire rêver les gens. Ils s'agissait donc souvent de décors presque inexistants, mis en place selon les moyens à disposition, allant de quelques planches à un décor plus riche avec des tentures et quelques meubles.

D'autres troupes étaient protégées par un bourgeois, suffisamment riche pour se permettre de financer le théâtre mais aussi loger et nourrir la troupe.

Pourtant, dans ce cas on rencontrait encore des difficultés matérielles, comme le problème de l'éclairage, qui était la lumière des bougies. Le théatre français a également subit l’influence italienne, notament au niveau des décors : Plus on avance dans le XVIIe siècle, plus les décors se font somptieux.

Tout es prévus pour le plaisir des yeux et l’émérveillement : on fait glisser la lune, des astres ou des nuages sur des rails, on imite les vagues par un système de cylindre qui ondulent derrière une toile…C’est ce qu’on appelle du théâtre à machines.

Cependant, ces décors manquent de réalisme et les indications scéniques sont rares.

Ainsi nous l’aurons bien compris, les décors, les accessoires et les costumes dépendent de l’argent dont disposent les troupes.. »

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