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Comment définiriez-vous votre propre génération ?

Publié le 17/01/2022

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  La notion de « génération » est assez complexe car il convient d'analyser ce terme dans toutes ces formes existantes : démographique, sociologique, culturelle, historique… Plusieurs sociologues, philosophes, lexicographe et autres comme Jean-Luc Excousseau ou encore Karl Mannheim  ont essayé de définir ce terme cependant chacun à sa propre vision de ce terme. Le mot « génération » nous concerne tous, car en effet, qu'on le veuille ou non, on appartient tous à une génération, après nous pouvons en être fier et l'apprécier ou pas, cela dépend de la perception de chacun. Ainsi, comment pourrais-je définir ma propre génération ? Pour y répondre, la meilleure façon serait de procéder par différents point de vue : en premier lieu nous étudierons ma conception de ma génération du point de vue culturel, puis en second lieu du point de vue économique et enfin en dernier lieu du point de vue social.

« intégrés la préoccupation de l'environnement dans leur stratégie et devient même un outil marketing de plus en plusutilisé : « Le temps de la réflexion est passé.

Aujourd'hui les entreprises doivent montrer l'exemple et s'investir dans des politiques de développement durable » a écrit le journaliste Fabrice Michelier en 2009 dans un dossier sur le site internet www.lesechosdelafranchise.com . Cependant, cette mondialisation contient des effets néfastes.

On peut parler par exemple de la société de consommation de masse, de l'effet de mode ou encore du conformisme : des stéréotypes ont été développés ettout le monde veut s'en conformer.

Le résultat est que les cultures de chaque pays commence peu à peu àdisparaitre et bientôt, tout le monde s'habillera de la même manière, mangeront la même nourriture, regarderont lesmême films, écouteront la même musique comme le dit si bien Frédéric Gaussen dans son article « Qu'est-ce qu'unegénération ? » paru dans le Monde en 1981 : « mêmes airs, mêmes danses, mêmes vêtements, mêmes révoltes, mêmes rêves… » dans lequel il explique que c'est justement ce conformisme qui crée une génération.

Cette culture« dominante et imposante » est celle des Etats unis, et les altermondialistes et antimondialistes c'est à dire lesopposants a ce phénomène appellent cela « l'américanisation ».

Ce phénomène creuse également un fossé de plusen plus profond entre les pays du nord et les pays en développement et sous développés, ce qui induit unepauvreté de plus en plus alarmante dans les pays de l'Afrique noir par exemple et un taux de chômage en constanteaugmentation.

Et enfin, l'ouverture des économies peut facilement créer des crises économiques mondiales commenous venons de subir en 2008 montre bien les effets négatifs du capitalisme.

Ainsi, les jeunes de ma générationdevront faire face à tout cela et ont un plus grand risque d'être au chômage. Si le point économique ne parait pas tellement positif avec la mondialisation et ces effets néfastes, il n'en ait pas moins sur le plan social. Et enfin, d'après moi, les caractéristiques de ma génération du point de vue social penchent plus vers le négatif que vers le positif.

La violence y est encore présente avec notamment le terrorisme : celui du 11 septembrepar exemple avec la destruction des deux tours World Trade Center aux Etats-Unis a fortement marqué magénération.

La violence et le vandalisme est représentée partout : dans les films, livres, dans les medias, cela influesur le comportement des jeunes qui deviennent par la suite des délinquants : cela peut s'expliquer en partie par lefait que la violence est devenu une des méthode le plus efficace pour s'exprimer, se faire entendre et se révoltercontre quelque chose.

C'était le cas notamment des jeunes français dans les banlieues en France qui faisait duvandalisme pour se plaindre contre la pauvreté et le chômage.

On est bien loin des Hippies des années 60 qui euxont plutôt optés pour le pacifisme, comme nous pouvons le voir sur la photographie du document 4 du corpus deshippies qui font une « contre-culture ». De plus, les individus sont devenus de plus en plus égoïstes comme nous le montre par exemple Christian Combazdans son œuvre Eloge de l'âge dans un monde jeune et bronzé .

En effet, celui-ci nous dénonce dans son œuvre le fait que les enfants ne s'occupent plus de leurs parents âgés et préfèrent les envoyé dans une maison de retraite.Les enfants sont également victime de cet égoïsme par le biais des divorces de plus en plus nombreux et banalisés.La crainte du mariage a également augmenté et les individus préfèrent plutôt se « paxer » ou rester enconcubinage, ce qui facilite la séparation des individus et des biens car en plus d'être égoïste, ils sont devenus trèsméfiants aussi.

La rupture familiale est donc omniprésente. Pour conclure donc, comment je définirais ma propre génération ? En résumé je dirais que la génération dans laquelle je vis contient plus de points négatifs que de points positifs : au risque de paraitre exagérément pessimiste,le monde évolue de sortes à ce que si cela continue dans ce sens, il court tout droit à sa perte.

C'est pour cela quela génération présente devrait prendre dès maintenant des mesures pour effectuer des changements et desaméliorations, et ceci à tout les niveaux (économique, sociale, culturel…).. »

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