commentaire ''A une passante''
Publié le 19/05/2014
Extrait du document
«
pour quelques instant après le laissé seul dans l'obscurité qu'est la solitude.
Baudelaire nous fais comprendre qu'il est en proie à la tristesse et à la solitude avec la
personnification de la douleur dans le vers « Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, »
qui nous montre qu'il souffre , la personnification « la rue assourdissante autour de moi hurlait.
»que
l'on pourrait aussi qualifié de métonymie , nous montre qu'il est seul et que la vie suit son court sans
lui , « dont le regard m'a fait soudainement renaître » nous montre que la tristesse et la solitude
l'avait anéanti a tels point qu'il ne vivait plus, et que quand il a compris qu'il ne pourrait plus la voir
il replongerais.
Ce poème fait donc référence au spleen et à l'idéal , car il mais en opposition le bonheur que
Baudelaire a pu éprouver au vu de la passante qui est décrite idéalement , et son amour soudain a la
triste réalité que celui ci serais impossible et qu'il retournerais dans la tristesse et la solitude , il nous
fais aussi comprendre indirectement que tout est éphémère ..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Commentaire de A UNE PASSANTE
- Commentaire composé A une passante
- A une passante Baudelaire Commentaire
- Commentaire composé de Baudelaire, '' à une passante ''
- Baudelaire: A une passante (commentaire)