Commentaire de texte : La fortune des Rougon-Macquart - Silvère Et Miette fâce à L'Insurrection
Publié le 17/06/2012
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Ce tableau est également complété par une dimension musicale fascinante. Ce passage musical est porté par un chant, « le chant national «, le chant de la république : La Marseillaise. La musique se distingue dans un « éclat assourdissant « et vient emplir la vallée de fond en comble ne laissant aucun élément ou espace de celle-ci libre de son retentissement. Au contraire elle semble justement émaner de la vallée. Le champ lexical des instruments est présent pour accompagner ce chant agressif et envahissant. De « monstrueuses trompettes «, des « sécheresses de cuivre «, un « tambour «, des « baguettes « jouent furieusement les notes de La Marseillaise. C’est une symphonie magistrale impliquant toute la vallée qui se joue sous les yeux de Miette et de Silvère.
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