Devoir de Philosophie

Composition Bataille de Waterloo

Publié le 01/12/2013

Extrait du document

Pendant que la bataille de Waterloo fait rage, un soldat de l'armée française et son général, se replient un cours instant pour se reposer, et profitent de ce moment de calme à l'abri des canons pour discuter ... -Retirons nous  ! - Non soldats ! Seuls les lâches se replient, la France ne s'avouera vaincue seulement quand elle le sera véritablement ! Cette bataille de Waterloo, nous la gagnerons comme toutes les autres! -Mais nous sommes vaincus général, les deux tiers de notre armée ont déjà été abattus. Nos armes ne font pas le poids face aux leurs, il ne nous reste plus qu'une trentaine de canons et les Anglais les réutilisent contre notre propre armée. Nous subissons cette bataille. -La guerre n'est pas un supplice, bien au contraire c'est un honneur d'y participer, elle amène tout homme à se dépasser, afin de faire preuve d'une bravoure qui l'honore dans l'adversité, c'est aussi l&apo...

« - Ces hommes, qui se battent pour leur pays, ces hommes admirables au service de notre Empereur Napoléon, nous prouvent leur ultime loyauté envers leur patrie.

Rare sont les chefs d’armées qui respectent leurs troupes comme Napoléon nous respecte, il ne nous a jamais déçu et nous tacherons de ne jamais le décevoir s'écria le général.

Ses qualités de stratège militaire ne sont plus à défendre, il a toujours su nous mener à la victoire, nous avons déjà envahi l'Europe une fois, rien ne nous empêche de recommencer à nouveau.

- Cessons les discours patriotiques ! Le petit tondu nous à certes toujours mené à la victoire, mais cette fois-ci, il semblerait qu'il nous précipite vers notre perte. -Jamais je ne cesserais les discours patriotiques. Vive l'Empereur ! Je le crierais jusqu'à mon dernier souffle car si je devais mourir ici, à Waterloo je mourrais dignement avec la pensée d'avoir accomplie ma destinée et d'avoir servi mon pays jusqu'au bout.

Dans les moment les plus difficiles nos prières seront entendues et Dieu nous viendra en aide.

Napoléon sais certainement ce qu'il fait je lui fais confiance, nous lui faisons tous confiance. - Il n'avait certainement pas prévu que les Anglais seraient si organisés, l'on croyait la moitié de la guerre gagnée après avoir repoussé l'armée prussienne, mais nous nous sommes bien trompés, les Anglais sont coriaces bien plus que les Prussiens.

Et prier Dieu ne servirais pas à grand chose, car la rencontre de Napoléon et du Pape n'étant qu'un calcul politique, les cieux ne seront pas de notre côté.

Nous devrions renoncer à cette conquête de l'Europe et rentrer retrouver nos familles.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles