Corpus sur la libertinage (analyse et synthèse)

« Le corpus de texte auquel nous avons affaire comporte quatre extraits de roman ayant comme points communs d’expliqué chacun leurs vision du libertinage.

Les Égarements du cœur et de l’esprit écrit en 1736 et Thérèse philosophe écrit en 1748 appartiennent tous deux au mouvement des lumières car le plaisir charnelle participent à la recherche du bonheur.

Le livre de Guy de Maupassant, Bel -Ami est lui, écrit en 1885 et appartient au mouvement réaliste, il raconte comment un arriviste monte dans la société.

Et L’insoutenable Légèreté de l’être est un roman écrit en 1984 qui explique pourquoi Thomas est un libertin.

Nous allons donc étudié l’approche qu’à ces différents extraits du l ibertinage.

En premier lieu, dans l’extrait du livre de Crébillon, Les Égarements du cœur et de l’esprit, nous pouvons voir Versac qui nous explique son expérience de libertin.

Ainsi nous sommes renseigné que le libertinage est quelque chose qui, au travers du plaisir charnelle marqué par le chants lexical de l’amour « délicate » l.19 « sensuel » l.19 « voluptueuse »l.19 « passionné »l.19, permet de grandir et d’ apprendre, car pour mieux séduire il faut savoir mieux interagir av ec le monde, et qu’il est rempli de faux -semblant comme l’explique le chant lexical de la dissimulation : « tromper » et « yeux » l.15 « cacher » l.16 « déguiser »l.22 mieux décelé se qu’on veut nous cacher et nous apprendre à c ontenir tous nos sentiment .

De plus, dans l’extrait de Thérèse p hilosophe le libertinage est perçu comme une satisfaction personnelle.

On est libertin si l’on prend du plaisir à en recevoir et à en donner.

On retrouve donc le chant lexical du plaisir charnelle « chair »et « gout »l.1 « désiriez »l.2 et « plaisir » l.4 »heureux » l.7.

Nous pouvons voir avec la métaphore et son explication de : « l’homme donne souvent l’ aumône aux pauvres… »que l’auteur dit que s es limites du libertinage sont de prendre conscience que l’on prend du plaisir sans que l’autre en aie ou inversement si l’on à pas de plaisir mais que l’autre en ressent .

L’antiphrase « se procurer plus ou moins de plaisir, évité plus ou moins de peine »l.12-13 vient préciser que le libertinage est régi par la règle : savoir jongler entre la peine et le bonheur pour être le plus satisfait possible .

D’autre part, pour Guy de Maupassant le libertinage est avant tout une façon de monté dans la société et de prouvé au autre et à soi qu’on est quelqu’un d’important au travers du et sa compétence à contrôler c’est émotion et donc à séduire on retrouve d’ailleurs une métaphore : « vous me froisserez jusqu’au cœur » l.10 et le chant lexical de la séduction avec « conquête »l.5, « baisant », « passion » et « aime » l.12.

Ainsi le libertinage est pour Guy de Ma upassant c’est de trouvé une satisfaction qu’elle soit d’ordre du sex uel et/ou de l’ambition, quitte à en faire pâtir les autres.

En dernier lieu, l’extrait du roman L’insoutenable Légèreté de l’être à pour représentation du libertinage , comme nous expl ique la métaphore : « il ne lâchait pas le scalpel imaginaire »l.4, d’aller découvrir l’aspect caché des Hommes .

mais recherché dans son aspect le plus précieux : l’aspect sexuel, ainsi on retrouve le chant lexical de l’amour avec « désir »l.1 « sexualité »l.15 « conquérir » l.16 « volupté »l.20.Ainsi thomas veut étanché sa soif de curiosité sexuel mais l’anaphore « thomas est obsédé[…], Il est obsédépar les femmes, il est obsédé…» l.1 -2 renforcé avec le chant lexical de l’obsession : « obsession »l.1, « pa ssion » l.4 « désirait »l.5 et « désir »l.20 nous montre que cela devient obsessionnel.

On a aussi le chant lexical de l’imagination : « inimaginable » l.2 « imaginaire »l.4 « profondément enfoui » l.5 et « originalité »l.12 qui est une des cause de la cu riosité.

Sans que cela n’empêche d’aimer profondément quelqu’un.

Cependant les expériences libertines n’empêche pas d’aimé quelqu’un profondément d’après le texte.

En conclusion, nous voyons que le libertinage à comme fondement le plaisir physique et qu’a près chacun y ajoute ces aspirations personnelles qu’ils soient d’ordre de la puissante, de l’amour propre, de l’ambition ou de la curiosité.. »