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Décrire le personnage de Jeanne dans Une vie

Publié le 16/12/2012

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En 1883. le premier roman de Guy de Maupassant, Une vie, a été publié. Dans ce roman il présente un tableau de la condition feminine au 19ième siècle, et la manière de la vie sociale en Normandie. On peut dire que ce roman de Maupassant a été inspire par le roman de Flaubert Madame Bovary. Le roman porte ce titre, Une vie, parce que il est une biographie d’une jeunne femme qui s’appele Jeanne. La personnage de Jeanne domine dans le roman. Elle est une jeune aristocrate normande, très naïve et inexpérimentée, qui vient de sortir du couvent et qui ne sait presque rien de la vie. Sa seule expérience de la vie vient de ses rêveries et lectures. Elle imagine la vie comme un conte de fées, elle rêve d’amour et son esprit est romanesque. Elle est une idéaliste qui pense a trouver un homme qui l’aimera et qui sera parfait. Mais la vie a préparé quelque chose d’autre pour elle. Ses rêves d’un homme parfait, de voyages ne seront jamais réalisés. Son malheur a commencé quand elle a marié Julien de Lamar. Mais, peut-être il n’était pas le seul raison pour sa vie malheureuse. Il y avait beacoup de choses qui ont affecté sa vie et sa personnalité comme par example son éducation, ses illusions et ses désillusions dans la vie, son mariage avec Julien, sa relation avec ses parents ou peut-être sa passivité. L’histoire de Jeanne nous montre la déchéance de sa vie dans un univers ,,sans espoir’’.               Jeanne a passé une enfance très protégée et idyllique avec ses deux parents qui l’aiment beacoup et qui font tout pour son bonheur. Son père est un généreux bonhomme et ces attributs le conduira lentement à la catastrophe. Il était rousseauiste et il a appris Jeanne d’aimer la nature et les animaux, mais aussi parce qu’il était un homme généreux et bon elle ne savait que le bonheur. A douze ans il a décidé qu’elle doit aller dans un couvent, parce qu’il voulait la faire heureuse, bonne et tendre et il avait un plan pur son éducation. Il l’avait tenu là sévèrement enfermée, cloîtrée, ignorée et ignorante des choses humaines. Il voulait qu’on la lui rendît chaste à dix-sept ans pour la tremper lui-même dans une sorte de bain de poésie raisonnable ; et, par les champs, au milieu de la terre fécondée, ouvrir son âme, dégourdir son ignorance à l’aspect de l’amour naïf, des tendresses simples des animaux, des lois sereines de la vie. (Maupassant, 1999 :11)   En faisant cela il ne l’a pas préparé pour la vie. Elle en savait seulement ce qu’elle a lu dans ses livres ou ce qu’elle imaginait dans ses rêves pendant le temps passé au couvent. De sa sortir du couvent elle découvre la beauté de la nature comme son père voulait. Elle est heureuse et avec ses parents. Dans toutes les choses elle voit la beauté. Quand elle est arrivé aux Peuples le meuble, le tapiserie, son lit invoquent ses souvenirs. Elle est joyeuse, elle idéalise les choses autour d’elle et on peut voir à elle une personne romantique. Elle a tous pour être heureuse : éducation, jeunesse,  beauté, liberté... Elle semblait un portraut de Véronèse avec ses cheveux d’un blond  luisant qu&...

« tendresses simples des animaux, des lois sereines de la vie.

(Maupassant, 1999 :11)   En faisant cela il ne l'a pas préparé pour la vie.

Elle en savait seulement ce qu'elle a lu dans ses livres ou ce qu'elle imaginait dans ses rêves pendant le temps passé au couvent.

De sa sortir du couvent elle découvre la beauté de la nature comme son père voulait.

Elle est heureuse et avec ses parents.

Dans toutes les choses elle voit la beauté.

Quand elle est arrivé aux Peuples le meuble, le tapiserie, son lit invoquent ses souvenirs.

Elle est joyeuse, elle idéalise les choses autour d'elle et on peut voir à elle une personne romantique.

Elle a tous pour être heureuse : éducation, jeunesse,  beauté, liberté... Elle semblait un portraut de Véronèse avec ses cheveux d'un blond  luisant qu'on aurait dit avoir déteint sir sa chair, une chair d'aristtocrate à peine nuancée de rose, ombrée d'un léger duvet, d'une sorte de velours pâle qu'on apercevait un peu quand le soleil la caressait.

Ses yeux étaient bleus [...] Elle avait sur l'aile gauche de la narine, un petit grain de beauté, un autre à droite, sur le menton où frisaient quelques poils si semblables à sa peau qu'on les distinguait à peine.

(Maupassant, 1999 :12)   Aux Peuples avec ses parents commence, peut-être, le plus heureux période de sa vie.

Jeanne rêve de son bonheur, de l'amour avec un homme qui sera parfait et qui l'aimera toujours. Mais malheuresement cela ne va pas durer longtemps.

L'erreur de Jeanne est son ignorance de la vie.

Elle perde sa tête dans les nuages affectée par ses rêveries et illusions qui sont venus de ses lectures et son isolement de la société.

A son ignorance, son père et sa mère, ils ont contribué beacoup.

C'est leur faute qu'elle n'était pas préparé pour la vie.             Quelques mois après sa arivée aux Peuples elle a fait la connaissance de Julien de Lamare, un jeune noble homme.

Après son retour du couvent aux Peuples Jeanne se mit à rêver d'amour.

Jeune et naïve elle est une proi facile pour quelqu'un qui la veut utiliser pour gagner sa richesse, pour un hypocrite, pour un séducteur.

Elle rêve d'amour  et de bonheur et Julien était le premier et le seul homme qui a été introduit a elle. C'était facile pour une jeunne fille de 17 ans de tomber amoureuse avec un homme comme Julien. Il possédait une de ces figures heureuses dont rêvent les femmes et qui sont désagréables à tous les hommes. (Maupassant, 1999 :37). »

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