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en quoi le personnage de roman reflète-t-il la société dans laquelle il vit ?

Publié le 03/05/2013

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La diversité littéraire est créée par le nombre élevé d'auteurs et surtout par les différentes influences de chaque époques. Chaque romancier écrit son roman par rapport à l'époque dans laquelle il vit, et aussi par rapport au mouvement littéraire auquel il appartient. Pour écrire son roman l'écrivain s'inspire de la société dans laquelle il vit, des coutumes de son époque, des mœurs et de ses croyances. Mais en quoi le personnage de roman reflète-t-il la société dans laquelle il vit ? Dans un premier temps nous verrons que le roman peut être le miroir que le romancier promène sur son chemin mais dans un second temps nous verrons que le romancier peut s'émanciper de cette société dans son roman.       Tout d'abord nous allons voir que souvent le romancier fait de son roman un reflet de la société dans laquelle il vit et de son mouvement littéraire. En effet on peut le voir au XIXème siècle avec le réalisme et le naturalisme. Honoré de Balzac, un des fondateurs du réalisme, s'appuie sur les progrès scientifiques de son époque. Il observe aussi très minutieusement les hommes et Balzac veut dévoiler les règles du jeu social. On peut donc voir dans ses romans, qu'il «décrit«, à travers les personnages, les régles de la société du XIXème siècle, il décrit ce qu'il se passe dans la société. Dans ses romans Balzac, fait un véritable portrait de la société du XIXème, il en fait le miroir. On peut le voir dans La Comédie humaine (de 1842 à 1850), à travers ce projet titanesque, il décrit les lieux,des portraits et des leçons de vie. Dans la seconde moitié du XIXème...

« Jean.

Emile Zola a écrit les Rougon-Macquart, histoire inspiré d'une vraie famille représente bien que le naturalisme s'inspire de la réalité, qu'il est en fait le miroir d'une société.

A travers les Rougon-Macquart, Zola veut étudier l'influence du milieu sur l'homme et les tares héréditaires d'une famille tout en voulant dépeindre la société du Second Empire.

On peut donc voir qu'à travers leurs oeuvres les romanciers font un portrait de leur société mais ils le font aussi en fonction de leur mouvement littéraire.

Maupassant dans Pierre et Jean, montre les rivalités que peuvent se voir éclater dans n'importe quelle famille.

Dans ce roman, Maupassant montre ce qu'il pourrait se passer dans la réalité car une dispute de famille peut arriver à n'importe qui, même encore aujourd'hui.

On peut aussi voir que même avant le réalisme et le naturalisme certains auteurs faisaient le portrait de leur société.

En effet on peut le voir dans L'ingénu, de Voltaire, car il accuse le pouvoir qu'à un nombre restreint de personne, en l'occurence dans ce livre le clergé.

Il fait cette critique par l'intermédiaire de la naïveté de son personnage principal.

A travers tous ces romanciers, on peut donc s'apercevoir que lors du mouvement naturaliste, du mouvement réaliste et bien avant ces deux mouvements littéraires, les romanciers font de leur romans des miroirs de la société dans laquelle ils vivent, car ils s'inspirent de faits plus ou moins réels pour écrire leur romans.

Dans Au bonheur des dames, Zola a fait de nombreuses recherches sur les grands magasins, sur la vie des ouvriers avant d'écrire ce roman et il a fait cela durant presque toute l'écriture des Rougon-Macquart, il s'est renseigné pour chaque roman qu'il écrivait.

De ce fait on voit que les romanciers s'inspirent de la réalité afin d'être le plus complet possible dans leur roman.

La réalité occupe une très grande partie de leur roman.

Mais les romanciers peuvent aussi s'émanciper de cette société.     Malgré la volenté des romanciers qui veulent faire de leur roman un miroir de leur société, certains choisissent de s'en émanciper.

En effet lorsque Gustave Flaubert écrit Madame Bovary, en 1857, il décrit madame Bovary mais celle ci dépasse l'époque précise.

En effet dans ce roman, Flaubert renonce au réalisme pur.

Il a affirmé «Ma pauvre Bovary souffre et pleur dans vingt villages de France!», il ne fait donc pas une transcription pure de l'affaire Delamare.

Dans ce roman publié en 1857, Flaubert ossille, durant tout le roman, entre la grisaille et la. »

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