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figures 3

Publié le 16/12/2012

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1 6 /1 2 /1 2 Document : F igures III Docum e nts Aute urs Oe uvre s Rechercher un document : Cherc her Figures III Envoy é par c eejeec ee Voyages en Afrique du Sud Rive-Gauche.fr/Afrique-du-Sud Ci rcui t s de Johannes burg au Cap Informat i ons et Rés ervat i on · ORDRE * « Il y a le temp s d e la ch ose racontée et le temp s d u récit « . Dua lité temporelle. * le récit écrit ne peut être situé, a ctua lisé que da ns un temps qui est celui de la lecture. * le livre doit être lu de fa çon dia chronique. Il est tenu pa r la linéa rité. *le texte na rra tif n'a pa s d'a utre tempora lité que celle qu'il emprunte à sa propre lecture. Ana chronie : différentes formes de discorda nces entre l'ordre de l'histoire et l'ordre du récit. D e gré z é ro : éta t de pa rfa ite coïncidence temporelle entre récit et histoire. Porté e : Une a na chronie peut se porter da ns le pa ssé ou da ns l'a venir, plus ou moins loin du moment présent, c'est-à -dire du moment de l'histoire où le récit s'est interrompu pour lui fa ire pla ce. Amplitude : elle peut ouvrir elle-même une durée d'histoire plus ou moins longue. · Ana le pse : a na chronie de déta il. * Ré cit pre mie r : nivea u temporel de récit pa r ra pport a uquel une a na chronie se définit comme telle. * Ana le pse e x te rne : toute l'a mplitude reste extérieure à celle du récit premier. * Ana le pse inte rne : toute l'a mplitude reste intérieure à celle du récit premier. H é té rodié gé tique : porta nt sur une ligne d'histoire, et qui a donc un contenu diégétique différent du récit premier. H omodié gé tique : porta nt sur une même ligne d'a ction que le récit premier ; risque d'interférence évident. Ana le pse complé tive : (= renvoi) comprend des segments rétrospectifs qui viennent a près coup combler un vide a ntérieur. Logique na rra tive indépenda nte de l'écoulement du temps. Ana le pse ré pé titive : (= ra ppel) redonda nce ; le récit revient sur ses propres tra ces. Ana le pse mix te : déterminée pa r une ca ra ctéristique d'a mplitude, puisqu'il s'a git d'a na lepse externe qui se prolonge j usqu'à rej oindre et dépa sser le récit premier. Ana le pse pa rtie lle : récit a na leptique s'interrompt fra nchement sur une ellipse et le récit premier reprend là où il s'éta it a rrêté soit de ma nière implicite, soit de ma nière explicite. www.litterales.com/document__id-9-F igures.html 1 /5 1 6 /1 2 /1 2 Document : F igures III Prole pse : a nticipa tion ou prolepse temporelle ; elle est moins fréquente. · le récit à la première personne se prête mieux qu'a ucun a utre à l'a nticipa tion, du fa it même de son ca ra ctère rétrospectif décla ré qui a utorise le na rra teur à des a llusio...

« 16/12/12 Docum ent : Figures III 2/5 www.litterales.com /docum ent__id-9-Figures.htm l · Prolepse : anticipation ou prolepse tem porelle ; elle est m oins fréquente. le récit à la prem ière personne se prête m ieux qu’aucun autre à l’anticipation, du fait m êm e de son caractère rétrospectif déclaré qui autorise le narrateur à des allusions à l’avenir. Prolepse interne : problèm e de l’interférence, de l’éventuel double em ploi entre le récit prem ier et celui qu’assure le segm ent proleptique. Prolepse itérative : renvoient à fréquence narrative ; elles réfèrent d’avance à un évènem ent qui sera en son tem ps raconté tout au long du récit.

Rôle d’annonce. Form ule canonique : « nous verrons » « on verra plus tard » ; ne pas confondre avec les am orces, les pierres d’attente. · D U REE · Anisochronie : Isochronie : coïncidence entre succession diégétique et succession narrative ; degré zéro. R écit isochrone : récit à vitesse égale, sans accélération ni ralentissem ent, où le rapport durée d’histoire / longueur de récit resterait toujours constant.

(C ela n​existe pas) U n récit peut se passer d’anachronies, m ais il ne peut aller sans anisochronies (sans effets de rythm es.) le récit a une discontinuité croissante. * Théoriquem ent, il existe une gradation continue depuis cette vitesse infinie qui est celle de l’ellipse, où un segm ent nul de récit correspond à une durée quelconque d’histoire, jusqu’à cette lenteur absolue qui est celle de la pause descriptive, où un segm ent quelconque du discours narratif correspond à une durée diégétique nulle. * Il y a 4 étapes fondam entales du m ouvem ent narratif : - ellipse : absence du récit som m aire, absence de la pause descriptive. Ellipse explicite : procède soit par indication du laps de tem ps qu’elles élident , ce qui les assim ilent à des som m aires très rapides, de types « qq.

années passèrent ». Ellipse im plicite : celle dont la présence n’est pas déclarée dans le texte et que le lecteur peut seulem ent inférer de qq.

lacune chronologique ou solution de continuité narrative. Ellipse hypothétique : im possible à localiser. - pause (description) - scène (le plus souvent dialoguée) - récit som m aire (form e à m ouvem ent variable) : la narration en quelques paragraphes ou qq.

pages de plusieurs journées, m ois ou années d’existence, sans détails d’actions ou de paroles. FREQ U EN C E Fréquence narrative : relation de fréquence, de répétition entre récit et diégèse.

U n évènem ent n’est pas seulem ent capable de se produire, il peut se reproduire ou se répéter. D ans la répétition des évènem ents narrés et des énoncés narratifs s’établit un systèm e de relation que l’on peut ram ener à 4 types virtuels : - évènem ent répété.

- évènem ent non répété. - énoncé répété. - énoncé non répété.

* Itération généralisante ou externe : le cham p tem porel couvert par le segm ent itératif déborde évidem m ent de beaucoup celui de. »

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