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Gérard de Nerval, Les Chimères (1853). « El Desdichado ».

Publié le 03/07/2012

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nerval

Vaste, immense est le domaine de la poésie, illimité même… Dans le temps, puisque tout commence, pour tous les peuples, par la poésie : poésie orale des Inuits, des griots africains, poésie épique de l’Iliade et l’Odyssée, « fondatrices « de la culture grecque et que tout continue, de siècle en siècle, par la poésie, avec des hauts et des bas (à la mort de V. Hugo en 1885 le peuple de Paris est derrière le corbillard…en revanche qui aujourd’hui peut citer le nom d’un poète contemporain ? Qui a lu un de ces poèmes ?). Dans les lieux donc aussi puisque donc tous les peuples de toutes les époques ont leurs poètes… Qui parle donc de poésie, qui veut définir l’art poétique se heurte d’emblée à une variété problématique, et rendant irréaliste le projet… Tout de même, une approche est peut-être possible, d’emblée plus modeste, en observant le produit concret de l’acte poétique, le poème. Certes la variété des poèmes coïncide parfaitement avec la variété des poésies mais il n’empêche que quelques caractéristiques communes peuvent être observée : ...

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