germinale
Publié le 23/09/2013
Extrait du document
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perception du décor est fausse car il a une vision modifie et non assez large à ligne 30 et 38.
Ce qui explique
que l'identification du lieu est bien plus loin seulement à la ligne 50 que c'est une mine un fosse ce cadre
spatial se fait par le point de vue interne de la perception du personnage.
B) de l'extériorité d'un décor à l'intériorité d'une conscience
L'arrivée d'Etienne est présente à la 3ème personne.
Bien souvent et c'est le cas ici un début de roman
commence par un point dévie externe puisqu'il cherche un point dévoue externe pour amener l'électeur à la
curiosité à l'envie de poursuivre sa lecture.
Comme à la première ligne avec un décor qui se perçoit simplement
sel extérieur etSimplement personnel.
Ensuite on nous précise également toujours de façon externe la forme de
cette route qui est toute droite à la ligne 11.
De plus la description va adopter progressivement un autre point
de vue qui et la perception personnelle d'Etienne a la ligne 5 et 6.
La narration va se focaliser sur la perception du personnage avec une sensation tactile comme à la ligne 12.
Ensuite on peut aussi également voir que le narrateur va au dessus du point de vue interne avec le point de vue
omniscient puisqu'il sait ce qu'il s'est passée des heures avant.
De la même façon comme a la ligne 4 on a un
point de vue globale et donc omniscient.on a donc un texte présentant un décor de façon externe mais très vite
introduit des éléments propre au point de vue interne et parfois le narrateur va jusqu'à aborder le point de vue
ZÉRO qui fournit des élément supplémentaires ! On va donc de l'extériorité vers l'intériorité.
Voilà pourquoi on
nous dit à la 50eme ligne "qu'il découvrit une fosse".
Cela nous invite à mettre en relation le décor et le
personnage.
(*reference a javert)
C) relation entre le personnage et le décor
Les deux éléments que sont le décors et le personnages sont intimement liés.
On peut le relever par 2
expressions avec les éléments du décors à la ligne 9 qui sont personnifiés et humanisés.
Et inversement cette
homme quant à lui est déshumanise c'est à dire qu'au lieu d'avoir une pensée il a une tête vite.
Lui est alors
déshumanisé il est réduit juste à la marche à la déambulation et il marche sans savoir ou il va ou pourquoi il
avance.
Donc à la ligne 14 "il marchait avec une pas allongé".
On remarque le verbe "qui suit" il est donc passif.
»
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