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germinale

Publié le 23/09/2013

Extrait du document

I : comment le cadre spatio temporelle est il présente : A) le lieu et le temps de l'action Au niveau du temps on peut des le deuxième ligne on peut identifier le terme "obscurité" ce qui indique que cela se passe pendant la nuit. Cette nuit est particulièrement obscur puisqu'elle est associé à une épaisseur d'encre à la ligne 1. Ce sont les termes constituant le champ lexical du cadre temporel. Si on élargit les indications temporelle on peut supposer que l'on nous trouvons à la fin de l'hiver grâce à deux termes avec l'evaucation du mois de mars et que les rafales sont glacés.la comparaison est. Faire ressortir que ce vent est tellement glacial qu'il fait penser à un vent de mer. Cela renvoie à une nouvelle indication--> fin de l'hiver! Nous sommes comme même au début d'une œuvre complète et au fil de l'œuvre on va comprendre que l'action se situe en 1866 ce qui correspond au 2nd empire : 2 références avec l'expédition du Mexique qui a lieu de 1861 a 1867. On y fait référence 4 pages après. Notre incipit et cela renvoie à une note qui est c'est une allusion à la guerre du Mexique ! Et la seconde référence est le fait d'évoquer l'internationale à la page 193 donc à la 3ème partie du roman et la note dit première section française se sont fondés en 1865. En effet à la ligne 13 il est dit au deuxième paragraphe " il fait nuit" et "depuis une heure il avançait ainsi" Quant au cadre spatial on a une référence à une ville Marchiennes. Cela permet de donner un repère géographique précis de même que des référence au paysage typique de cette endroit! On cite également ce qui se cultive et un type d'architecture propre à la région. Nous avons donc un texte encre dans un cadre réaliste, ce qui l'est beaucoup moins pour Mansou et la perception du lieu pour Zola qui a être brouillé. Car ce personnage se trouve dans la nuit et en plus dans l'avant dernier paragraphe on nous dit qu'il empreinte un chemin qui s'enfonce qui est bordé d'une sorte de mur. La perception du décor est fausse car il a une vision modifie et non assez large à ligne 30 et 38. Ce qui explique que l'identification du lieu est bien plus loin seulement à la ligne 50 que c'est une mine un fosse ce cadre spatial se fait par le point de vue interne de la perception du personna...

« perception du décor est fausse car il a une vision modifie et non assez large à ligne 30 et 38.

Ce qui explique que l'identification du lieu est bien plus loin seulement à la ligne 50 que c'est une mine un fosse ce cadre spatial se fait par le point de vue interne de la perception du personnage. B) de l'extériorité d'un décor à l'intériorité d'une conscience L'arrivée d'Etienne est présente à la 3ème personne.

Bien souvent et c'est le cas ici un début de roman commence par un point dévie externe puisqu'il cherche un point dévoue externe pour amener l'électeur à la curiosité à l'envie de poursuivre sa lecture.

Comme à la première ligne avec un décor qui se perçoit simplement sel extérieur etSimplement personnel.

Ensuite on nous précise également toujours de façon externe la forme de cette route qui est toute droite à la ligne 11.

De plus la description va adopter progressivement un autre point de vue qui et la perception personnelle d'Etienne a la ligne 5 et 6. La narration va se focaliser sur la perception du personnage avec une sensation tactile comme à la ligne 12. Ensuite on peut aussi également voir que le narrateur va au dessus du point de vue interne avec le point de vue omniscient puisqu'il sait ce  qu'il s'est passée des heures avant.

De la même façon comme a la ligne 4 on a un point de vue globale et donc omniscient.on a donc un texte présentant un décor de façon externe mais très vite introduit des éléments propre au point de vue interne et parfois le narrateur va jusqu'à aborder le point de vue ZÉRO  qui fournit des élément supplémentaires ! On va donc de l'extériorité vers l'intériorité.

Voilà pourquoi on nous dit à la 50eme ligne "qu'il découvrit une fosse".

Cela nous invite à mettre en relation le décor et le personnage.

(*reference a javert) C) relation entre le personnage et le décor Les deux éléments que sont le décors et le personnages sont intimement liés.

On peut le relever par 2 expressions avec les éléments du décors à la ligne 9 qui sont personnifiés et humanisés.

Et inversement cette homme quant à lui est déshumanise c'est à dire qu'au lieu d'avoir une pensée il a une tête vite.

Lui est alors déshumanisé il est réduit juste à la marche à la déambulation et il marche sans savoir ou il va ou pourquoi il avance.

Donc à la ligne 14 "il marchait avec une pas allongé".

On remarque le verbe "qui suit" il est donc passif. »

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