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Groupement de texte

Publié le 24/06/2013

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Les guerres du XXème siècle et les idéologies politique en découlant marquèrent les populations et, entre autre, la littérature. Les trois textes présents dans ce corpus ont été écrits à une période où les régimes autoritaire étaient en pleine expansion là où les auteurs résidaient. L'extrait du roman Le zéro et l'infini de Arthur Koestler a été écrit à une période où l'horreur du régime communiste était à son point culminant, Staline lui-même disait : « La mort d'un homme est une tragédie. La mort d'un million d'hommes est une statistique «, reflétant bien la cruauté de ce personnage et expliquant la vision morbide qu'a le personnage Roubachof du Parti Communiste dans cet extrait. Dans le texte extrait du roman de Jean-Paul Sartre, Les chemins de la liberté, le personnage fait un choix qui est de servir son pays, face à la peur et l'inquiétude, ici l'horreur des régimes totalitaires n'étaient pas encore dévoilé et Boris est forcé de faire un choix, dans l'ignorance de la suite des évènement. Le troisième extrait est tiré de l'ouvrage Z de Vassilis Vissilikos, ici le contexte est celui d'un régime autoritaire grecque, contre le lequel c'était opposé Grigoris lambrakis qui fut assassiné. Le personnage principal de cet extrait est le juge de cette affaire, il ouvre les yeux sur la réalité du gouvernement grecque. Nous allons démontrer à travers ces textes qu'à cette époque, l'importance d'un choix politique tenant une place considérable dans la vie d'un homme conduit à un sentiment de solitude et d'impuissance. Tout d'abord nous évoquerons ou aux conséquences ici dramatique de ce choix, les personnages des différents extrait sont démunis et seuls puis que le manque de repère des personnages cause aussi un sentiment de solitude. En premier lieu, nous pouvons remarquer ou aux conséquences ici dramatique de ce choix, les personnages des différents extrait sont démunis et seuls.. Dans l'extrait de Koestler, le personnage Roubachof affronte la suite de son choix de sortir du parti communiste, en effet la monstruosité des actions de ce parti est décrit avec notamment le champ lexical des blessures physique, le narrateur nous dépeint : « Le corps chaud et vivant du Parti [qui] lui apparaissait couvert de plaies - de plaies pustuleuses, des stigmates ensanglantés «. La description produit un effet de répulsion à la lecture et ainsi dénonce l'horreur que sont devenues les actions du communisme, il se sent démuni, regardant les atrocités de la guerre détruisant cette idée que le personnage pensait si belle. Boris lui, dans l'extrait de Jean-Paul Sartre, est en proie à un choix qui va se démontrer crucial dans la suite des évènements : c'est celui de servir son pays, en toutes occasions, ou de fuir ses responsabilité de citoyen par peur. En effet, la peur est omniprésente dans cet extrait puisque Boris nous dit d'abord : «Ce que j'aurais peur ! «, et, à travers un langage familier, ici utilisé pour toucher un plus grand nombre de lecteur et donner du réalisme au texte, le narrateur nous parle de « l'idée de cette frousse gigantesque «. Dans l'extrait tiré du roman de Vassilikos, une fois le personnage principal est confronté à une décision torturante : la recherche de la vérité à tout prix ou la préservation de sa vision de l'homme et de la société. Le juge et indécis, « il ne pouvait quand même pas inculper la société entière, tout un régime ! «, il se sent impuissant face à la société et aux agissements de la population et des hauts placés politique, le régime politique est même personnifié, accusé. Nous avons vu que face à l'importance d'un choix politique ou aux conséquences ici dramatique de ce choix, les personnages des différents extrait sont démunis et seuls. Nous pouvons nous interroger maintenant sur le manque de repère des personnages apparents dans les différents extraits. Ensuite nous pouvons voir que le manque de repère des personnages cause aussi un sentiment de solitude. En effet, dans le premier texte Roubachof est perdu, ne se reconnait plus en son ancien parti politique, il cherche « La cause des défaillances du parti «, c'est dire pourquoi son parti, avec ses idées qu'il pensait si pure, n'ait pas aimé. Dans l'extrait de Jean-Paul Sartre, le personnage manque aussi de repère. Il a y ici une gradation de ses sentiments présente dans le texte, le personnage passe de la crainte à la peur, puis se reprend et décide de ne pas avoir peur. En effet, au début du texte, Boris, à l'idée qu'une nouvelle guère pouvait éclater, « se [met] à rire de scandale et d'aise «, ici c'est un euphémisme puisque le souvenir de la première guerre mondiale est ancrée dans les esprits et dans celui de Boris. Ensuite, il se met à réfléchir sur la peur qui pourrait éventuellement l'habiter : «c'est qu'il ne faudrait pas avoir trop peur «. Il s'interrogea aussi sur la vocation et l'importance qu'elle prenait dans sa vie, le narrateur met sa plume au service de la pensée du personnage pour nous proposer une philosophie de vie sur la destinée et la vocation. Le registre tragique est donc employé car la crainte de la fatalité, c'est-à-dire de sa destinée et la pitié qu'il provoque est présente dans cet extrait. Enfin, dans le dernier texte, extrait de Z, le narrateur insiste sur le côté démuni du personnage, puisqu'il est seul face à la société entière : «il ne pouvait quand même pas inculper la société entière, tout un régime ! «. Dans ce devoir nous avons vu que l'importance d'un choix politique tenant une place considérable dans la vie d'un homme conduit à un sentiment de solitude et d'impuissance avec tout d'abord nous évoquerons ou aux conséquences ici dramatique de ce choix, les personnages des différents extrait sont démunis et seuls puis que le manque de repère des personnages cause aussi un sentiment de solitude. Ces trois texte nous poussent à réfléchir sur la place de la politique dans la vie de l'homme, et nous force à nous demander comment faire un choix quand on n'en connait pas encore les conséquences ?

« Después del parto, las mamas empiezan a producir leche, y el recién nacido la chupa a través del pezón.

El tiempo durante el cual elbebé se alimenta exclusivamente de leche se llama lactancia. En la actualidad, se elaboran preparados lácteos muy parecidos a la leche de la madre.

Cuando el recién nacido toma estas lechesartificiales, decimos que la lactancia es artificial.

Si el bebé se alimenta con la leche de la madre, decimos que la lactancia es materna. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993--2008 Microsoft Corporation.

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