« Ils font la guerre à la nature» Jacques Prévert.

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Deuxième partie : il est possible d'identifier des responsables • Tout un chacun -Question de mentalité Dans une société de consommation où tout se monnaie, ce qui est gratuit, comme les fleurs des champs, les arbres des forêts, n'est pas respecté.

« La vie sauvage ne vaut rien car elle n'est pas cotée en bourse» a souligné un de nos contemporains.

- Question d'irresponsabilité Les citadins, faute d'une connaissance des lois qui régissent la vie végétale, n'on pas toujours conscience de la gravité de leurs déprédations.

• Tous ceux qui choisissent le profit immédiat -Dégradations L'industrie est polluante, mais des moyens existent pour limiter les effets de cette pollution.

En contournant les lois qui existent déjà dans de nombreux pays, en ne s'équipant pas de dispositifs efficaces, les industriels sont les premiers responsables de la dégradation de notre environnement.

De même, les promoteurs continuent à sacrifier des arbres centenaires pour faciliter leurs travaux de construction, quitte à réaménager des espaces verts avec des espèces courantes.

- Prédations Les pêcheurs, les chasseurs détruisent à grande échelle des espèces en voie de disparition (les baleines, les phoques) et ce, malgré les lois internationales qui les protègent.

On pourrait parler de crime « délibéré ».

• La faillibilité humaine Même lorsque des dispositifs de sécurité sérieux sont mis en place, l'erreur commise par quelques hommes peut être fatale à la faune et la flore de toute une région ; l'exemple le plus flagrant est celui de Tchernobyl en 1987 où, dans ce cas, l'homme lui-même est atteint.

• La faiblesse des États Beaucoup de pays n'ont aucune loi qui protège la nature.

Ceux qui en ont ne les font pas toujours respecter.

Ainsi, en France par exemple, il revient moins cher de payer une amende que de traiter les déchets toxiques avant de les déverser dans les rivières.

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