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Jean-Baptiste Grenouille protagoniste du roman Le Parfum de Patrick Süskind, est-il à plaindre ou à blâmer ?

Publié le 14/06/2012

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Puis, à la suite des vingt-quatre meurtres, on considère grenouille comme un tueur en série. Il assassine les jeunes filles à une ou deux semaine d’écart. Une seule préoccupation    envahit les esprits : quand ce massacre s’arrêtera t-il ? «Peu après la récolte du jasmin il y eu deux autres meurtre« ; «quelques jours seulement après le double meurtre, on trouva de nouveau le cadavre d'une jeune fille« ; « il ne s'écoula pas une semaine, cet été là sans qu'on découvre le cadavre d'une jeune fille«. Une fois de plus, nous pouvons comparez avec l’extermination des juifs. Même à échelle mondiale le principe reste le même, des personnes sont assassinées pour le but d’un seul homme. Ensuite, lorsque Grenouille commet un meurtre il éprouve aucun sentiment, il tue avec indifférence, et insensibilité. A aucun moment il se remet en question ou remémore un crime qu’il a commit. On peut dire qu’il est doté d’un cœur de pierre. Il étrangle ses victimes, ou leur brise les cervicales sans remords. Dans le chapitre huit, son premier meurtre nous est décrit avec antipathie «Elle fut si pétrifiée de terreur en le voyant qu'il eut tout le temps de mettre ses main autour de son coup [...] Lui de son coté ne la regardait pas. [...] car il gardait les yeux soigneusement fermés, tandis qu'il l'étranglait et n'avait d'autre souci que de ne pas perdre la moindre...

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