La littérature de l'après guerre en Italie
Publié le 30/11/2011
Extrait du document
Le néo-réalisme éclaté
Si le contraire de cette douleur neuve et terrible toujours est le lieu commun : la succession de lieux communs produite par les media, n'y a-t-il pas réversibilité de la production dans la destruction ? On ne cherche pas à présent à désamorcer le symptôme : le langage préfabriqué qui nous est imposé et qui détruit la gangue de terroir des différentes façons de parler et d'écrire l'italien ? Sans doute les tentatives les plus intéressantes de ces dernières années occupent cette perspective.
«
Le roman
Cesare PAVESE (1908-1950)
Depuis son premier recueil de poèmes, Travail ler fatigue (Lavorare Stanca - 1936), il apparaît
déjà, sur la scène de la littérature italienne, comme « l'étranger " dominé par un vice absurde : la
connaissance de la mort.
De cette connaissance il parviendra à se défaire en se tuant, en 1950, d'un
coup de révolver après avoir écrit sur son journal
« Il faut de l'humilité, non pas de l'orgueil ''· Expliquer cette phrase revient à esquisser sa vie.
Jeune
il quitte la campagne pour Turin où, au
lycée, il découvre les merveilles d'une culture.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- HISTOIRE DE LA GUERRE DE TRENTE ANS (Exposé – Art & Littérature – Collège/Lycée)
- La littérature israélienne contemporaine par Alan Chatham de Bolivar Pionnière d'une langue restaurée et héritière d'une tradition biblique, la littérature israélienne moderne émerge après la Première Guerre mondiale.
- Littérature japonaise contemporaine par Koji Shirai Tokyo La littérature japonaise depuis 1945 est le reflet des changements complexes survenus dans la société après la guerre.
- La littérature allemande de l'après-guerre par Marcel Schneider En 1945, après douze
- STENDHAL, Henri Beyle, dit (1783-1842) En 1800, engagé dans l'armée de Napoléon Ier, ce fonctionnaire du ministère de la Guerre découvre l'Italie et entame la rédaction de son Journal.