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la vision de la femme

Publié le 10/11/2012

Extrait du document

A mon avis, dans la mesure où l'homme et la femme sont fondamentalement un, leur problème doit être essentiellement le même. Leur âme à tous deux est identique. Ils vivent la même vie et ont les mêmes sentiments. Chacun est complémentaire de l'autre. Aucun d'eux ne peut vivre sans l'aide indispensable de l'autre. Mais d'une manière où d'une autre, depuis fort longtemps, l'homme a exercé sa domination sur la femme, de telle sorte qu'il s'est développé en elle un complexe d'infériorité. Poussé par l'intérêt, l'homme a voulu la persuader qu'elle lui était inférieure, et elle y a cru. Mais les sages inspirés ont reconnu que sa condition était égale. (...) « Si j'avais été une femme je me serais révolté contre toute tentative de l'homme de ne voir en sa compagne qu'un simple jouet (?) De tous les maux dont l'homme s'est lui-même rend...

« l’avantage considérable qu’elle a sur l’homme.

Comme le disait Tolstoï, les femmes exécutent leurs besognes en étant soumise au pouvoir hypnotique de l’homme.

Si elles connaissaient la force de la non-violence, elles n’admettraient pas qu’on leur attribue le qualificatif de sexe faible (…) C’est une calomnie de parler de sexe faible à propos d’une femme.

L’homme est le responsable de cette injustice.

Si par force on entend brutalité, alors, oui, la femme est moins brutale que l’homme.

Mais si la force est synonyme de courage moral, alors la femme est infiniment supérieure à l’homme.

N’a-t-elle pas beaucoup plus d’intuition, d’abnégation, d’endurance et de courage ? Sans elle, l’homme ne pourrait pas être.

Si la non-violence est la loi de notre être, le futur appartient à la femme…Qui, mieux que la femme, sait parler au cœur et toucher son point le plus sensible ?» « Les femmes sont les gardiennes attitrées de tout ce qui est pur et religieux dans la vie.

Conservatrices par nature, elles sont lentes à se défaire des superstitions enracinés par l’habitude mais non moins récalcitrante à renoncer à tout ce qui est pur et noble dans la vie.

» « Douées des mêmes facultés mentales que lui, la femme est la compagne de l’homme.

Elle est habituée à prendre part aux activités de l’homme dans leurs plus petits détails.

Et elle a le droit de prétendre à la même indépendance et à la même liberté que lui.

La première place lui revient pour tout ce qui relève de ces attributions spécifiques, comme il en est pour l’homme chaque fois qu,il s’agit de son propre domaine.

Cela devrait aller tout naturellement de soi, sans avoir besoin d’être appris comme la lecture ou l’écriture.

Par la simple force d’une coutume déplorable, même les hommes les plus ignares et les plus indignes ont été à même de jouir d’une supériorité qu’ils ne méritaient nullement et qu’ils n’auraient jamais dû avoir.

» « Si seulement les femmes voulaient oublier qu’elles. »

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