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Le barbier de Séville Beaumarchais Acte IV scène 6

Publié le 10/01/2012

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beaumarchais

Introduction : Augustin Caron de Beaumarchais, écrivain et dramaturge français, fut l'une des figures emblématiques du siècle des Lumières. Il écrit Le Barbier de Séville en 1775, premier volet de la Trilogie de Figaro. Il rapporte dans cette comédie les péripéties du comte Almaviva, déterminé à épouser la jeune Rosine malgré le tuteur de celle-ci, Bartholo. Ce textrait se situe à la fin de la pièce, Rosine est humiliée après que B. lui est appris que que Lindor est le messager du Comte et promet sa main à B.. Lindor accompagné de F. arrive pour enlever R, cette scène prépare le dénouement, et dévoile le tête à tête des amoureux

Pb : Comment cette scène très théâtrale évite la catastrophe en élucidant le quiproquo à l’origine du débit amoureux de R. ?

beaumarchais

« R.

interrompt Lindor à de nombreuse reprise prend le pouvoir emploi s le pronom personnel « je » montre sa détermination /implication Elle emploi un imp.

du subj.

« vinssiez » langage soutenu et non spontané  R.

étudie /réfléchis sa manière de parler  R.

désir confondre Lindor : elle veut lui fait avoué ses sentiments « Si vous m’assurez que vos intentions sont purs… » ce qui lui permet de dire sa tirade La tirade = le registre tragique Tirade marquée par la didascalie « indigné », R.

multiplie dedans les exclamatives « misérable lindo r ! », les impératifs « va », les imprécations (=malédiction) « malheureux » R.

emploie un champ lexical de la laideur morale: « lâche abus », « affreux Comte » Ton grandiloquent : anaphore « apprend que », antithèse « te détester » « je t’aimais », hyperbole « tout quitter », périphrase « partager ton mauvais sort » Les mots semblent manquer tant R.

suffoque : phrase de + en + courte puis tutoiement  jeux de scène exagéré : montre une émotion certaine  R.

: une comédienne qui devient tragédienne c)Le C omte = un amoureux Le Comte : « ma belle Rosine » ma dét.

poss.

belle adj.

mélioratif Rosine spontanéité  Montre son affection/sa spontanéité Il ne soupçonne pas le drame intérieur de R.

il interprète mal toutes ses paroles Il adopte un ton noble et pré cieux = aristocrate pour demander R.

en mariage.

Utilise une prétérition « il ne me convient point… », une périphrase « partager le sort d’un infortuné »  Demande solennel L’ultime moyen pour tester la pureté des sentiments de R.

: conserver son secret le + longtemps possible Décalage registre dû au quiproquo.

Scène riche en gestuel (=vivante) et en didascalie Le spectateur perçoit le dépit amoureux. »

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