Le barbier de Séville Beaumarchais Acte IV scène 6
Publié le 10/01/2012
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«
R.
interrompt Lindor à de nombreuse reprise prend le pouvoir
emploi s le pronom personnel « je » montre sa détermination /implication
Elle emploi un imp.
du subj.
« vinssiez » langage soutenu et non spontané
R.
étudie /réfléchis sa manière de parler
R.
désir confondre Lindor : elle veut lui fait avoué ses sentiments « Si
vous m’assurez que vos intentions sont purs… » ce qui lui permet de dire sa
tirade
La tirade = le registre tragique
Tirade marquée par la didascalie « indigné », R.
multiplie dedans les
exclamatives « misérable lindo r ! », les impératifs « va », les imprécations
(=malédiction) « malheureux »
R.
emploie un champ lexical de la laideur morale: « lâche abus », « affreux
Comte »
Ton grandiloquent : anaphore « apprend que », antithèse « te
détester » « je t’aimais », hyperbole « tout quitter », périphrase « partager
ton mauvais sort »
Les mots semblent manquer tant R.
suffoque : phrase de + en + courte puis
tutoiement
jeux de scène exagéré : montre une émotion certaine
R.
: une comédienne qui devient tragédienne
c)Le C omte = un amoureux
Le Comte : « ma belle Rosine » ma dét.
poss.
belle adj.
mélioratif Rosine
spontanéité
Montre son affection/sa spontanéité
Il ne soupçonne pas le drame intérieur de R.
il interprète mal toutes ses
paroles
Il adopte un ton noble et pré cieux = aristocrate pour demander R.
en
mariage.
Utilise une prétérition « il ne me convient point… », une
périphrase « partager le sort d’un infortuné »
Demande solennel
L’ultime moyen pour tester la pureté des sentiments de R.
: conserver son
secret le + longtemps possible
Décalage registre dû au quiproquo.
Scène riche en gestuel
(=vivante) et en didascalie Le spectateur perçoit le dépit amoureux.
»
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