lecture analytique description de la pension vauquer

« Le discours permet donc de faire du lecteur un véritable visiteur. 2 Ambiguïté de la position du narrateur  Le narrateur agit parfois comme un visiteur : Il insiste sur les perceptions olfactives : « elle sent » « elle pue » Il fait un inventaire des lieux et des objets : « des piles d’assiettes » il jette comme un coup d’œil circulaire à la pièce exactement comme le ferait un simple visiteur.  Néanmoins le narrateur n’est pas un simple visiteur : En effet il connait l’état passé des lieux « jadis » « aujourd’hui » Le caractère omniscient de l’auteur se fait également ressentir : il connait l’origine des assiettes… Le narrateur opte pour prendre un statut de visiteur qui inscrit le lecteur dans les lieux. 3 Un regard ironique  En effet le narrateur fait preuve d’ironie et d’humour : il dit ne pas trop vouloir décrire puis s’en suit une énumération de 9 adjectifs descriptifs.  Il prend également une distance critique : les odeurs « vous trouveriez ce salon élégant et parfumé » de plus l’emploi du terme horreur + la comparaison entre les deux pièces accentue la critique.

II une description réaliste 1 un inventaire précis  Soucis du réel : le narrateur emploi des énumérations des juxtapositions et des gradations pour décrire ce salon : il décrit également la matière des objet et leur formes et couleurs.  Soucis de la sensation physique : la vue « verriez » tactiles « gluant » olfactives.

Cela symbolise l’horreur et la répugnance. 2 une réalité non idéalisée  Emploi de termes dépréciatifs : « nauséabonds » « exécrable »  Des effets d’insistance avec des énumérations + des homéotéleutes  Réalité caractérisée par la vétusté la saleté la pauvreté et le mauvais gout. L’intérieur de la pension est donc caractérisé par la laideur, c’est un endroit dépourvut de toute beauté.. »