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L'Education sentimentale de Gustave Flaubert : Comment Flaubert en renouvelant le topo de la première rencontre fait il ressurgir le ridicule de la scène ?

Publié le 06/05/2012

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flaubert

Cet extrait fait partie du roman L’E(é)ducation sentimentale de Gustave Flaubert qui a été publié en 1869. L’écrivain, Gustave Flaubert est née le 12 décembre 1821, et décède le 8 mai 1880, il a frappé la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, sa préoccupation envers le réalisme de ses écrits et la force de son style imprégné dans ses œuvres. 

L’E(é)ducation sentimentale, retrace le parcours initiatique de Frédéric Moreau jeune étudiant en droit. Le passage que nous allons étudier présent au commencement du roman, nous présente la rencontre du personnage principale avec une jeune femme marié, Marie Arnoux.

Après la lecture de ce passage il est naturel de ce demander comment Flaubert a put  tout en renouvelant le topo de la première rencontre faire ressurgir le ridicule de la scène ?

L’examen de cet extrait portera d’abord sur la conception du coup de foudre selon Flaubert puis pour nous finirons par étudier l’ironie et l’embarras qu’exprime le narrateur dans cette scène de première rencontre.

flaubert

« Cet extrait fait partie du roman L’E(é)ducation sentimentale de Gustave Flaubert qui a été publié en 1869.

L’écrivain, Gustave Flaubert est née le 12 décembre 1821, et décède le 8 mai 1880, il a frappé la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, sa préoccupation envers le réalisme de ses écrits et la force de son style imprégné dans ses œ uvres. L’E(é)ducation sentimentale, retrace le parcours initiatique de Frédéric Moreau jeune étudiant en droit.

Le passage que nous allons étudier présent au commencement du roman, nous présente la rencontre du personnage principale avec une jeune femme marié, Marie Arnoux. Après la lecture de ce passage il est naturel de ce demander comment Flaubert a put tout en renouvelant le topo de la première rencontre faire ressurgir le ridicule de la scène ? L’examen de cet extrait portera d’abord sur la conception du coup de foudre selon Flaubert puis pour nous finirons par étudier l’ironie et l’embarras qu’exprime le narrateur dans cette scène de première rencontre. Dans ce texte l’auteur a réalisé une description de l’amour naissant. On remarque que Flaubert exprime tout d’abord a travers les sens, en majorité par la vus, l’apparition du sentiment amoureux chez Frédéric.

Il débute sa scène de rencontre par une « apparition » ligne 1, ce sont les yeux qui sont sollicité. Tout au long de l’extrait la vision est omniprésente comme le justifie la présence du champ lexical suivant composé de « distingua » ligne 2, « envoyèrent ses yeux » ligne 3, « il la regarda » ligne 5, « d’observer » ligne 14, « vu » ligne 15, « leurs yeux se rencontrèrent » ligne 36.

Flaubert marque bien le fait que l’amour se crée par la vus, chez Frédéric cela reflète une certaine superficialité.

Puis c’est l’ouïe du jeune homme qui est interpelé par le passage au discours indirect libre que prononce Madame Arnoux à sa fille de la ligne 24 à 25 : « Mademoiselle …….

Caprices » ce qui lui a plus, on peut le voir à la ligne 25 : « Et Frédéric…….ces choses ».

Enfin avec le châle on peut penser au toucher, lorsqu’il le rend à jeune femme. Donc selon l’écrivain l’amour née tout d’abord par la vision c’est a ce sens que Flaubert donne une plus grande importance, puis il fait allusion a l’ouïe et laisse penser a une possibilité de toucher. Ensuite l’écrivain poursuit sa conception du coup de foudre par un portrait élogieux de la dulcinée qui a fait chavirer le c œ ur du personnage principal.

Le narrateur décrit madame Arnoux à travers les yeux de Frédéric et à l’aide de l’imparfait de description comme s’il présentait une peinture.

Il débute par détailler la jeune femme grossièrement « Elle était assise, au milieu du banc » ligne 2, « elle avait un large chapeau de paille » ligne 6, « ses bandeaux noirs » ligne 7, « sa robe de mousseline claire » ligne 9.

Puis il approfondit sa description dans les détails « son nez droit, son menton » et enfin il qualifie même un fond de couleur à ligne 11 « sur le fond de l’air bleu ».

De plus la jeune femme est immobile « elle gardait la même attitude » ligne 12, ce qui intensifie l’idée de tableau.

Flaubert qualifie la jeune. »

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