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lolita

Publié le 01/02/2013

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" Dans un petit couvent, loin de toute pratique,  Je la fis élever selon ma politique ;  C'est-à-dire, ordonnant quels soins on emploierait  Pour la rendre idiote autant qu'il se pourrait. Dieu merci, le succès a suivi mon attente ;  Et, grande, je l'ai vue à tel point innocente,  Que j'ai béni le ciel d'avoir trouvé mon fait,  Pour me faire une femme au gré de mon souhait". Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant fortune aux dépens de maris imprudents. Il se propose même de lui donner de l'argent pour l'aider à conquérir ces femmes volages. Horace lui raconte assez naïvement qu'il n'a pas attendu ses conseils et qu'il est déjà parvenu à conquérir le cœur d'une jeune fille, Agnès, pupille d'un certain M. de la Souche, personnage tyrannique et ridicule. Il a profité de l'absence de ce dernier pour faire la cour à Agnès. Arnolphe, vexé, dissimule difficilement son agacement . Acte II Arnolphe s'en prend alors à ses domestiques leur reprochant d'avoir laissé un homme s'approcher d'Agnès. Puis il est vite rassuré par le récit ingénu que lui fait la jeune fille de sa rencontre avec Horace. Le jeune séducteur n'a pas profité de la situation pour ternir la réputation de la jeune pupille. Arnolphe exploite cette situation, redevenue favorable, pour annoncer à la jeune fille qu'il souhaite hâter son mariage. Agnès pensant que son tuteur souhaite lui permettre d'épouser Horace exprime toute sa reconnaissance à Arnolphe. Celui-ci rompt brutalement le quiproquo en lui indiquant que c'est de leur mariage à eux deux qu'il s'agit. Acte III Pensant avoir rétabli la situation à son profit, Arnolphe se prépare au mariage. Il enseigne à Agnès ses devoirs et lui dresse un tableau terrifiant des conséquences de l'infidélité conjugale. Agnès acquiesce sans aucune protestation. Arnolphe se réjouit de la bonne tournure de ses projets matrimoniaux et s'apprête à savourer la défaite d'Horace, son jeune rival. Lors d'une nouvelle rencontre d'Arnolphe et d'Horace , ce dernier concède , pour le plus grand bonheur de son adversaire, que ses amours connaissent un certain revers. Les domestiques l'ont empêché de voir sa bien-aimée, puis Agnès l'a chassé en lui lançant une pierre. Mais heureuse surprise, la pierre était accompagnée d'une lettre d'amour. Pendant qu'Horace se réjouit à nouveau de cette marque passionnée, Arnolphe a du mal à cacher son dépit et sa colère. Arnolphe qui se retrouve seul, médite sur la jalousie qu'il éprouve. Il découvre qu'il est tombé amoureux de sa prisonnière. L'aveu d'Horace lui fait prendre conscience qu'il ne souhaite plus simplement posséder Agnès ; il souhaiterait aussi être aimé d'elle. Acte IV Arnolphe décide de faire face. Il n'accepte pas de s'avouer vaincu par ce "freluquet". Il lui faut pourtant admettre son incapacité à conquérir le cœur d'Agnès. Il décide d'enseigner à ses valets les façons d'éconduire Horace. Celui-ci apparaît et raconte la dernière aventure qui lui est arrivé. Alors qu'Agnès l'avait clandestinement introduit dans sa maison et l'avait fait monter jusque dans sa chambre, M. de la Souche est arrivé, plein de colère. Vite Agnès l'a enfermé dans une armoire pour le cacher et lui a donné un nouveau rendez-vous pour le soir même. Ainsi averti par Horace, qui ne se doute toujours de rien,Arnolphe prend alors des mesures et demande à ses valets de défendre la maison. Lorsque le "galant" sera au sommet de l'échelle prêt à s'introduire dans la chambre d'Agnès, ordre leur est donné de faire pleuvoir sur lui une pluie de coups de bâton. Acte V Arnolphe est contrarié, ses domestiques ont trop bien respecté ses consignes et Horace, est allongé, sans vie, devant la maison. Mais coup de théâtre, alors qu'Arnolphe s'apprête à constater cet accident, Horace apparaît devant lui. Il lui avoue, qu'étant tombé de l'échelle, il a préféré faire le mort que de recevoir de nouveaux coups. Il concède également qu'Agnès est venue à son secours et lui a indiqué son souhait de ne plus retourner chez son tuteur. Ironie du sort ou naïveté suprême, Horace demande à son ami Arnolphe de protéger Agnès pendant quelque temps , en attendant qu'il puisse l'épouser. Dans une demi obscurité, Agnès change ainsi de défenseur, passant de la protection d'Horace à celle d'Arnolphe. Le transfert ayant eu lieu, Arnolphe se fait reconnaître par Agnès et lui exprime de vifs reproches. Agnès écoute avec une grande indifférence ce mélange de menace et de déclaration d'amour. Arnolphe lui promet de l'enfermer dans un couvent, mais il est décontenancé par la passivité de celle qu'il aime. Arrive alors Oronte, le père d'Horace, qui souhaite marier son fils avec la fille d'Enrique, un seigneur revenu en France après une longue absence. Horace implore Arnolphe et le supplie de l'aider . Celui accepte avec beaucoup d'ironie. Arnolphe se moque avec beaucoup de cruauté d'Horace, et lui apprend qu'Arnolphe et M. de La Souche sont la même et unique personne. C'est alors qu'il apprend qu'Agnès est la fille d'Enrique. Grâce à un hasard généreux, tout est bien qui finit bien pour Agnès et Horace, les jeunes amoureux. Arnolphe, lui est anéanti, et quitte la scène complètement désespéré. 1662: L'année de l'Ecole des femmes Molière a 40 ans . Il épouse cette année-là Armande Béjart, la fille de Madeleine Béjart. Ce mariage avec la fille de sa maîtresse, lui vaut d'être accusé de relations incestueuses avec cette personne qui pourrait être sa fille. Il réussit son coup de maître en écrivant l'Ecole des femmes, la première des comédies de la maturité, en cinq actes et en vers. Cette pièce, qui soulève des questions importantes (l’institution du mariage et l’éducation des filles), tranche nettement avec les thèmes habituels de la farce ou de la comédie à l’italienne. Innovation littéraire en même temps que critique originale de la société du temps, elle irrite certa...
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« que son tuteur souhaite lui permettre d'épouser Horace exprime toute sa reconnaissance à Arnolphe.

Celui-ci rompt brutalement le quiproquo en lui indiquant que c'est de leur mariage à eux deux qu'il s'agit. Acte III Pensant avoir rétabli la situation à son profit, Arnolphe se prépare au mariage.

Il enseigne à Agnès ses devoirs et lui dresse un tableau terrifiant des conséquences de l'infidélité conjugale.

Agnès acquiesce sans aucune protestation.

Arnolphe se réjouit de la bonne tournure de ses projets matrimoniaux et s'apprête à savourer la défaite d'Horace, son jeune rival. Lors d'une nouvelle rencontre d'Arnolphe et d'Horace , ce dernier concède , pour le plus grand bonheur de son adversaire, que ses amours connaissent un certain revers.

Les domestiques l'ont empêché de voir sa bien-aimée, puis Agnès l'a chassé en lui lançant une pierre.

Mais heureuse surprise, la pierre était accompagnée d'une lettre d'amour.

Pendant qu'Horace se réjouit à nouveau de cette marque passionnée, Arnolphe a du mal à cacher son dépit et sa colère. Arnolphe qui se retrouve seul, médite sur la jalousie qu'il éprouve.

Il découvre qu'il est tombé amoureux de sa prisonnière.

L'aveu d'Horace lui fait prendre conscience qu'il ne souhaite plus simplement posséder Agnès ; il souhaiterait aussi être aimé d'elle. Acte IV Arnolphe décide de faire face.

Il n'accepte pas de s'avouer vaincu par ce "freluquet".

Il lui faut pourtant admettre son incapacité à conquérir le coeur d'Agnès.

Il décide d'enseigner à ses valets les façons d'éconduire Horace.

Celui-ci apparaît et raconte la dernière aventure qui lui est arrivé.

Alors qu'Agnès l'avait clandestinement introduit dans sa maison et l'avait fait monter jusque dans sa chambre, M.

de la Souche est arrivé, plein de colère.

Vite Agnès l'a enfermé dans une armoire pour le cacher et lui a donné un nouveau rendez-vous pour le soir même. Ainsi averti par Horace, qui ne se doute toujours de rien,Arnolphe prend alors des mesures et demande à ses valets de défendre la maison.

Lorsque le "galant" sera au sommet de l'échelle prêt à s'introduire dans la chambre d'Agnès, ordre leur est donné de faire pleuvoir sur lui une pluie de coups de bâton. Acte V. »

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