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Mon rêve familier de Paul Verlaine: En quoi ce poème est-il un poème d’amour ?

Publié le 06/10/2018

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verlaine

Dans cette première partie, nous avons donc pu voir l’amour que porte le poète à cette femme, un amour qui selon lui réciproque. Nous avons également vu le regret qui est causé par la recherche de cette femme idéale qui n’existe probablement pas dans la réalité. La femme est mystérieuse, le poète ne parle pas de la beauté de cette femme.

 

Dans cette deuxième partie, nous montrerons en quoi ce poème est victime d’une femme mystérieuse, nous analyserons dans un premier temps le portrait flou de la femme et dans un second temps nous analyserons l’existence immatérielle de cette personne.

 

Le poète a beaucoup de mal pour faire une description de la femme. Les champs lexicaux nous prouve bien à quel point, il est difficile pour le poète de faire une description de cette femme. Nous pouvons relever le champ lexical du mystère avec les termes « ce rêve étrange » (V.1), « femme inconnue » (V.2), le champ lexical du corps accentue l’effet de flou, comme nous le montrent ces termes « mon cœur » (V.8), « Son regard » (V.12), « front » (V.7). Une antithèse se rattache particulièrement au champ lexical du corps « ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre » (V.4).

 

Nous pouvons dire que le poètesemble ne plus savoir qui est cette femme, un grand mystère plane sur cette identité.

 

Nous avons l’impression que la femme est irréelle. Tout d’abord, le poète ne se souvient même plus de la coloration des cheveux de cette femme, comme nous le prouve l’énumération suivante « Est elle brune, blonde ou rousse ? », le lecteur peut se demander si le poète a déjà rencontré cette femme car nous pouvons penser à un amour d’illusion, tant bien qu’il nous informe sur des souvenirs personnels mais qui restent encore flou comme nous le montre la comparaison « Comme ceux des aimés que la vie exila. », le poète est nostalgique, ce qui est confirmé par l’enjambement (V.13-14) et par la diérèse (V.14).

 

Nous pouvons dire que le poète perçoit quelques visions de cette femme, mais le lecteur peut penser qu’il s’agit d’un rêve, plus précisément celui de la femme idéale.

verlaine

« Dans cette première partie, nous avons donc pu voir l’amour que porte le poète à cette femme, un amour qui selon luiréciproque.

Nous avons également vu le regret qui est causé par la recherche de cette femme idéale qui n’existe probablement pas dans la réalité.

La femme est mystérieuse, le poète ne parle pas de la beauté de cette femme. Dans cette deuxième partie, nous montrerons en quoi ce poème est victime d’une femme mystérieuse, nous analyserons dans un premier temps le portrait flou de la femme et dans un second temps nous analyserons l’existence immatérielle de cette personne. Le poète a beaucoup de mal pour faire une description de la femme.

Les champs lexicaux nous prouve bien à quel point, il est difficile pour le poète de faire une description de cette femme.

Nous pouvons relever le champ lexical du mystère avec les termes « ce rêve étrange » (V.1), « femme inconnue » (V.2) , le champ lexical du corps accentue l’effet de flou, comme nous le montrent ces termes « mon c œ ur » (V.8), « Son regard » (V.12), « front » (V.7).

Une antithèse se rattache particulièrement au champ lexical du corps « ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre » (V.4) . Nous pouvons dire que le poètesemble ne plus savoir qui est cette femme, un grand mystère plane sur cette identité. Nous avons l’impression que la femme est irréelle.

Tout d’abord, le poète ne se souvient même plus de la coloration des cheveux de cette femme, comme nous le prouve l’énumération suivante « Est elle brune, blonde ou rousse ? », le lecteur peut se demander si le poète a déjà rencontré cette femme car nous pouvons penser à un amour d’illusion, tant bien qu’il nous informe sur des souvenirs personnels mais qui restent encore flou comme nous le montre la comparaison « Comme ceux des aimés que la vie exila.

», le poète est nostalgique, ce qui est confirmé par l’enjambement (V.13-14) et par la diérèse (V.14). Nous pouvons dire que le poète perçoit quelques visions de cette femme, mais le lecteur peut penser qu’il s’agit d’un rêve, plus précisément celui de la femme idéale. Dans cette deuxième partie, nous avons donc pu voir le portrait flou de la femme qui fait planer un mystère sur ce poème, ainsi que l’impression d’irréalité de cette femme, le lecteur peut se poser beaucoup de questions.. »

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