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Notes sur Marguerite Duras-Le ravissment de Lol V. Stein et le Vice Consul

Publié le 15/03/2022

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duras

« Lecture d'un texte Commentaire possible à rendre « une place à prendre » « mais lol est loin de sa lumière » 60-62p ou : 22-29 vice-consul.

9 ou 16 mars Cours 1 : Duras à vécue un événement retentissant pour toute son œuvre en 1945 : le retour de son mari des camps de concentration.

Type d'écriture narrative qui lui est propre.

Traumatisme de la connaissance des camps de concentration et du principe d'extermination.

C'est essentiel pour comprendre les deux œuvres qui vont être étudiées.

On assimile et on tente de penser la chose dans les années 50, un tel traumatisme engendre une vigilance particulière quant à raconter l'histoire avec un grand H.

La démarche d'honnêteté consiste à conserver une vigilance morale qui empêche de justifier ce qui est injustifiable.

C'est dans ce contexte là que Duras mais aussi que tous les nouveaux romanciers sont exposés.

On cherche à éviter que le récit face converger des éléments contradictoire de façon arbitraire.

On ne veut pas raconter une début un milieu et une fin qui s'enchaîne logiquement.

C'est ça qui fait que les nouveaux romanciers déclarent « l 'air du soupçon ».

On se rapproche plus de la réalité quand on se rapproche de la rupture que quand on s'en tient au roman « de gare ».

Question pour Duras et ses contemporains de faire interroger le lecteur sur l’œuvre, qu'il essaye lui même d'y mettre un ordre sans qu'une signification univoque lui soit imposée.

Les textes de cette époque là même pour de grands lecteurs étonne à la première lecture. On étudie ces deux œuvres car elles sont indissociables.

Le personnage d'Anne Maryse provoque par le rapt de son fiancé.

C'est un personnage enivrant dans les deux œuvres. Personnage de Anne M.

dans Ravissement est filtré par Tatiana qui raconte sa caricature à une autre personnage.

Elle est accompagné de question complexe, portrait d'une femme fascinante qui porte un mystère.

Réapparaît dans le V.C de manière bcp plus présente.

Elle porte la même robe, ce qui est un signal qui nous ait tendu et qui nous engage à considéré le Ravissement quand on lit le V.C. Sa présence est réduite parce qu'il est le personnage du roman qui parle le moins M.

Richards. Invasion du dialogue qui est une des explication possible de sa pratique du théâtre et du cinéma. Ce personnage apparaîtra encore dans d'autre œuvre, Duras répète qu'elle est le personnage principal de toute ses œuvres. L'une des pratiques les plus ordinaire de Marguerite Duras est la reprise, elle revient à la même matière et transpose une œuvre d'un média à un autre.

Elle en fait des pièces, des médias radiophoniques, veut en faire un roman photo, etc.

Elle navigue continuellement d'un idiome à un autre. Autre raison d'associer les deux romans est quand à la proximité de leur genèse.

Le V.C est crée d'abord même s'il sort après.

Elle se consacre en 1963 sur le V.C mais est une période très troublé pour elle : rupture, enfoncement dans l'alcool, cure de désintox qui lui fera écrire le ravissement.

Quand elle écrit le V.C elle est en proie à des tourments et est très troublé pendant ses écrits. La difficulté abominable ne serait pas le sujet inabordable ? C'est ce à quoi sert le personnage de P.

Morgan.

Le V.C raconte la difficulté pour cet écrivain d'écrire l'histoire d'une mendiante que nous lisons cependant.

P.

Morgan est un délégué d'elle même au sein de la fiction qui se charge de l'écriture d'une chose qui résiste.

Dès début 1963 elle s'ouvre à des journalistes sur cette difficulté. On parle de roman pour le V.C car dans sa première édition qui porte la mention roman, dès la deuxième édition le mot roman disparaissait de la couverture.

Le V.C est son roman le plus politique.. »

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