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Portrait de vautrin

Publié le 06/10/2018

Extrait du document

C'est enfin que ses mœurs sont décrites. On apprend que Vautrin à une nature vagabonde ; l'énumération de verbes d'actions

 

en ''à'', nous le confirme : « ses mœurs consistaient à sortir après le déjeuner, à revenir pour dîner, à décamper toute la soirée, et à rentrer.... »

 

Vautrin est donc assimilé à un personnage séduisant, dégourdi et futé, néanmoins c'est de manière rapide que ressort son côté énigmatique.

 

Balzac nous décris ici le portait d'un personnage craint, mystérieux par ses habitudes, son expérience, son ébauche de réflexion.

 

Vautrin est un individu respecté mais craint par les autres pensionnaires. Son côté généreux est vite rattrapé par sa droiture d'esprit ( utilisation d'un litote et comparaison avec la justice ) : « Il avait prêté plusieurs fois de l'argent à Mme Vauquer et à quelques pensionnaires ; mais ses obligés seraient morts plutôt que de ne pas le lui rendre » ; « il imprimait de crainte par un certain regard profond et plein de résolution. » ; « comme un juge sévère ». Son statut particulier, son indépendance et l'absence de motif de justification de sortit appuis cette idée : « sortir après le déjeuner... » ; « Lui seul jouissait de cette faveur » ; « rentrer vers minuit à l'aide d'un passe-partout que lui avait confié Mme Vauquer ». De plus, le manque d'informations du passé de Vautrin reflète cette atmosphère énigmatique : On sent que le personnage a des choses à cacher, mais l'on ne sait pas vraiment quoi : « à favoris peint » ; « il connaissant tout d'ailleurs, les vaisseaux, la mer, [ ... ] les lois, les hôtels et les prisons ».

 

En plus de cela, le narrateur souligne son expérience et son côté expérimenté. La citation de son âge dès les premières lignes du texte ne tarde pas à nous démontrer la présentation de quelqu'un qui a vécu de nombreux événements : « l'homme de quarante ans » ; « sa figure rayée par des rides prématurée ». Sa capacité à réparer et rafistoler insiste sur ses innombrables compétences : « Si quelques serrures allait mal » ; « offrait ses services ». Le savoir du personnage est également exposé, l'auteur nous révèle son champs de connaissance par l'énumération interminable de noms : « Il connaissait tout d'ailleurs, les vaisseaux, la mer, la France, l'étranger, les affaires, les hommes, les évènements, les lois, les hôtels et les prisons. ». La réplique qu'il lance confirme cette idée : « ça me connaît ».

« offrait aussitôt ses services...

».

En outre, l'énumération de verbes d'actions nous connote son habileté et son adresse : « il l'avait bientôt démontée, rafistolée, huilée, limée, remontée...

».

Vautrin est présenté comme un personnage qui va de l'avant et qui sait ce qu'il fait : « ça me connaît » ; « Il connaissait tout d'ailleurs ».

L'ancien détenu est également décris comme un individu attentif, difficile à tromper : « son œil semblait aller au fond de toutes les questions ». C'est enfin que ses mœurs sont décrites.

On apprend que Vautrin à une nature vagabonde ; l'énumération de verbes d'actions en ''à'', nous le confirme : « ses mœurs consistaient à sortir après le déjeuner, à revenir pour dîner, à décamper toute la soirée, et à rentrer....

» Vautrin est donc assimilé à un personnage séduisant, dégourdi et futé, néanmoins c'est de manière rapide que ressort son côté énigmatique. Balzac nous décris ici le portait d'un personnage craint, mystérieux par ses habitudes, son expérience, son ébauche de réflexion. Vautrin est un individu respecté mais craint par les autres pensionnaires.

Son côté généreux est vite rattrapé par sa droiture d'esprit ( utilisation d'un litote et comparaison avec la justice ) : « Il avait prêté plusieurs fois de l'argent à Mme Vauquer et à quelques pensionnaires ; mais ses obligés seraient morts plutôt que de ne pas le lui rendre » ; « il imprimait de crainte par un certain regard profond et plein de résolution.

» ; « comme un juge sévère ».

Son statut particulier, son indépendance et l'absence de motif de justification de sortit appuis cette idée : « sortir après le déjeuner...

» ; « Lui seul jouissait de cette faveur » ; « rentrer vers minuit à l'aide d'un passe -partout que lui avait confié Mme Vauquer ».

De plus, le manque d'informations du passé de Vautrin reflète cette atmosphère énigmatique : On sent que le personnage a des choses à cacher, mais l'on ne sait pas vraiment quoi : « à favoris peint » ; « il connaissant tout d'ailleurs, les vaisseaux, la mer, [ … ] les lois, les hôtels et les prisons ». En plus de cela, le narrateur souligne son expérience et son côté expérimenté.

La citation de son âge dès les premières lignes du texte ne tarde pas à nous démontrer la présentation de quelqu'un qui a vécu de nombreux événements : « l'homme de quarante ans » ; « sa figure rayée par des rides prématurée ».

Sa capacité à réparer et rafistoler insiste sur ses innombrables compétences : « Si quelques serrures allait mal » ; « offrait ses services ».

Le savoir du personnage est également exposé, l'auteur nous révèle son champs de connaissance par l'énumération interminable de noms : « Il connaissait tout d'ailleurs, les vaisseaux, la mer, la France, l'étranger, les affaires, les hommes, les évènements, les lois, les hôtels et les prisons.

».

La réplique qu'il lance confirme cette idée : « ça me connaît ». Par ailleurs, on constate la détermination et la fermeté du personnage.

Vautrin a tendance à agir face à la difficulté pour éliminer ses problèmes : « un certain regard profond plein de résolution ».

La comparaison avec le juge révèle cette idée de sévérité : « comme un juge sévère ».

Son aptitude d'analyse et de réflexion, mis en avant par l'énumération en ''de tous'' dissuade la tentation d'être en conflit avec lui : « son œil semblait aller au fond de toutes les questions, de toutes les consciences, de tous les sentiments...

». Ce portait d'un premier abord élogieux puis mystérieux, nous connote ainsi la description d'un personnage pleins de mystères, généreux, au soutien des autres et qui sera l'une des figures emblématiques de «La Comédie humaine».. »

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