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«Rue Cases Nègres» de Joseph Zobel

Publié le 15/07/2012

Extrait du document

Grâce à une description très minutieuse des mains de M'man Tine, nous pouvons lire à travers elles le reflet de sa vie . Dans l'excipit de ce roman, José nous fait raconte la vie de sa grand-mère à travers les mains de cette dernière. Nous pouvons ainsi comprendre qu'elle était une travailleuse, croyante et d'une certaine façon très affective. Premièrement nous pouvons remarquer que M'man Tine était une personne qui se tuait à la tache dans les champs de canne à sucre. Ceci est visible sur ces mains qui sont « à chaque repli, et charque craquelure incrutées d'une boue indélébile « l.8 . Le terme « indélébile « sonne fort dans le texte et montre bien à quelle point le travaille était dure et dans quelle condition le travai s'exerçait . Ces mains sont marqué à vie par cette boue ineffaçable et par ces « morsures féroces des feuilles de canne«l.21. Cette hyperbole renforce cette idée de travaille acharné et difficile. En effet, nous avons l'impression qu'elle à été exploitée comme un animal. Ces mains sont tellement abimées quelle sont comparé a travers cette métaphore à « des sabots de je ne sais quelle bête ayant galopé sur des rochers « l.9. Les traces de son exploitation sont à jamais gravée sur ses mains.

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