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Publié le 04/01/2013

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SkyJack Story Par Elodie Flavien © 2011 FLAVIEN Elodie C' était une très belle journée, - la météo avait annoncé 28 degrés - de mon lit je pou - vais remarquer un ciel d'un bleu éclatant et sans aucun nuage en vue. Mais cette journée allait être comme toutes les autres, ternie par des lycéens dépourvue d'un cerveau en état de marche, et sans aucune compassion pour des gens qui ne recherche que le calme et un peu de solitude. Je sortis de mon lit et alla me penché sur le rebord de ma fenêtre, admirant les passants, des enfants attendant le bus scolaire, ou encore des voisins cherchant leurs journaux sur leurs porches. Mon attention fut reporter sur ma chambre, elle n'avait pas changé depuis mon enfance. Les murs bleu ternies, les mêmes rideaux à dentelles jaunie avec le temps, dans le coin à gauche de mon lit une armoire blanche qui avait bien vécue depuis et la porte de ma salle de bain, à droite ma commode dessus ma lampe préféré - du temps de mes sept ans - en face du lit mon bureau en bois ou trônais un antique ordinateur, - soupire. Je me mis à arpenter la pièce afin de chercher mon vêtement du jour, j'optai pour un débardeur dos nageur blanc, une veste noire, mon jean bleu marine et mes incontournables Converses noires, direction la salle de bain. Je m'activais, m'arrêtant un moment afin de m'admirer dans la glace, mon visage blême n'avait rien d'attirant, mes cheveux brun me retombaient jusque dans le bas du dos, mes yeux vert - couleur jade - en amandes était quelques peut cernés, mon corps avait toujours été mince, je n'étais ni sportive, ni pom-pom girls rien de tous ça. Je descendis prendre mon petit déjeuner, je n'avais pas très faim je me servis un jus de fruit ainsi que deux tartines de beurre, puis remontais pour me brosser les dents et alla réveiller mon petit frère Matt, oui triste nouvelle je ne suis pas fille unique, il a neuf ans, pour le moment je vis encore avec ma mère Lovely, mais à vrai dire ont ne partagent pas les même opinions on est comme chien et chat comme la nuit et le jour, la belle et moi la bête. Pour elle son apparence est un atout qu'il ne faut pas perdre, pour moi la simplicité et le naturel sont mes meilleurs amis. Arrivée devant la porte de Matt, je ne pris pas la peine de frapper et tournai la poignet la porte ne s'ouvrit pas, elle était fermer à clé, je frappai le plus fort possible, je l'entendis gémir : - Hum, fiche le camp ! - Je compte jusqu'à trois, si tu n'ouvre pas je te jure que ...La porte s'ouvrit, je vis le visage de mon petit frère encore presque endormi. - Combien de fois t'a-t-on dit de ne pas fermer ta porte à clé ? Lui criais-je. - Oh ça va Silver ! Je ne fais rien de mal me répondit-il avec un peu trop d'arrogance dans sa voix. A son âge il n'a rien à cacher - je comprendrais si il était adolescent mais il n'a que 9 ans bon sang ! - Si je te reprends à fermer ta porte, je te jure que sa va barder pour toi jeune homme ! Maintenant file te doucher si tu ne veux pas être en retard, et croit moi je parlerai de cela à Lovely ! - Maintenant c'est Lovely et pas Maman ! Depuis quand l'appel-tu comme cela mademoiselle incomprise ? - De quoi je me mêle, je te préviens si dans cinq minutes tu n'es pas dans la salle de bain je... - OK, c'est bon j'y vais me coupa t-il sans vergogne. Il prit ses vêtements et rentra dans la salle de bain du couloir, en attendant je redescendis dans la 2 cuisine afin de préparer le petit déjeuner de Matt - bol de lait et céréales - quelques minutes plus tard j'entendis ses pas trainant raisonnés dans le couloir et descendre me rejoindre. Il me lança un regard noir, s'assit, commença à engloutir son petit déjeuné sans un mot ce qui ne me déplu pas, appuyer contre le plan de travail de la c...

« C’ était une très belle journée, – la météo avait annoncé 28 degrés – de mon lit je pou - vais remarquer un ciel d’un bleu éclatant et sans aucun nuage en vue.

Mais cette journée allait être comme toutes les autres, ternie par des lycéens dépourvue d’un cerveau en état de marche, et sans aucune compassion pour des gens qui ne recherche que le calme et un peu de solitude.

Je sortis de mon lit et alla me penché sur le rebord de ma fenêtre, admirant les passants, des enfants attendant le bus scolaire, ou encore des voisins cherchant leurs journaux sur leurs porches.

Mon attention fut reporter sur ma chambre, elle n’avait pas changé depuis mon enfance.

Les murs bleu ternies, les mêmes rideaux à dentelles jaunie avec le temps, dans le coin à gauche de mon lit une armoire blanche qui avait bien vécue depuis et la porte de ma salle de bain, à droite ma commode dessus ma lampe préféré – du temps de mes sept ans – en face du lit mon bureau en bois ou trônais un antique ordinateur, – soupire.

Je me mis à arpenter la pièce afin de chercher mon vêtement du jour, j’optai pour un débardeur dos nageur blanc, une veste noire, mon jean bleu marine et mes incontournables Converses noires, direction la salle de bain.

Je m’activais, m’arrêtant un moment afin de m’admirer dans la glace, mon visage blême n’avait rien d’attirant, mes cheveux brun me retombaient jusque dans le bas du dos, mes yeux vert – couleur jade – en amandes était quelques peut cernés, mon corps avait toujours été mince, je n’étais ni sportive, ni pom-pom girls rien de tous ça.

Je descendis prendre mon petit déjeuner, je n’avais pas très faim je me servis un jus de fruit ainsi que deux tartines de beurre, puis remontais pour me brosser les dents et alla réveiller mon petit frère Matt, oui triste nouvelle je ne suis pas fille unique, il a neuf ans, pour le moment je vis encore avec ma mère Lovely, mais à vrai dire ont ne partagent pas les même opinions on est comme chien et chat comme la nuit et le jour, la belle et moi la bête.

Pour elle son apparence est un atout qu’il ne faut pas perdre, pour moi la simplicité et le naturel sont mes meilleurs amis.

Arrivée devant la porte de Matt, je ne pris pas la peine de frapper et tournai la poignet la porte ne s’ouvrit pas, elle était fermer à clé, je frappai le plus fort possible, je l’entendis gémir : - Hum, fiche le camp ! - Je compte jusqu’à trois, si tu n’ouvre pas je te jure que …La porte s’ouvrit, je vis le visage de mon petit frère encore presque endormi. - Combien de fois t’a-t-on dit de ne pas fermer ta porte à clé ? Lui criais-je. - Oh ça va Silver ! Je ne fais rien de mal me répondit-il avec un peu trop d’arrogance dans sa voix. A son âge il n’a rien à cacher – je comprendrais si il était adolescent mais il n’a que 9 ans bon sang ! - Si je te reprends à fermer ta porte, je te jure que sa va barder pour toi jeune homme ! Maintenant file te doucher si tu ne veux pas être en retard, et croit moi je parlerai de cela à Lovely ! - Maintenant c’est Lovely et pas Maman ! Depuis quand l’appel-tu comme cela mademoiselle incomprise ? - De quoi je me mêle, je te préviens si dans cinq minutes tu n’es pas dans la salle de bain je... - OK, c’est bon j’y vais me coupa t-il sans vergogne.

Il prit ses vêtements et rentra dans la salle de bain du couloir, en attendant je redescendis dans la 2. »

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