La gynécologie
Publié le 20/08/2013
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Le cancer du sein est le plus fréquent des cancers féminins, avec un risque accru pour celles qui n'ont pas eu d'enfant Se faire dépister tous les deux ans dès 40 ans permet de le prendre en charge rapidement, et augmente les chances de guérison. La consommation d'alcool et l'hérédité sont des facteurs de risques.
Le camer do col de robins est la deuxième cause de mortalité chez la femme dans le monde, malgré un dépistage répandu. Il est dû à un virus. Il peut être découvert lors d'un frottis et traité par radio-chimiothérapie et chirurgie.
Le cancer de l'ovaire est annoncé par un trio de signes (gonflement de l'abdomen, envie urgent d'uriner et douleurs pelviennes) qui doit alerter. Un cancer localisé uniquement sur les ovaires peut être traité par la chirurgie.
Le cancer de la vulve représente 3 à 5 % des cancers gynécologiques. Les carences en oestrogènes représentent un facteur de risque. Le traitement peut associer une vulvectomie (ablation des grandes et petites lèvres et du clitoris) et une radiothérapie.
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l'étude du col de l'utérus, de la cavité utérine et des trompes.
Elle consiste à introduire, dans le col de l'utérus , une canule servant à injecter un produit radio-opaque , et à pratiquer des clichés pendant l'injection.
Cet examen est indiqué surtout dans le cadre d'un bilan d 'infertilité .
• Scanner : irradian~ indolore et rapide , il est plus précis qu'une simple radio en cas d'Incertitude de diagnostique.
• Hystéroscopie : elle consiste à introduire un hystéroscope , sorte de caméra, par le col de l'utérus, tout en lavant la cavité utérine par un flux de sérum physiologique .
l'hystéroscopie permet donc d'explorer l'utérus, d'y déceler des anomalies et de réaliser des gestes chirurgicaux.
• Hystérosonographie: c'est une échographie permettant l'étude des parois de l'utérus, de sa cavité , et des trompes utérines.
On introduit dans le col de l'utérus un cathéter, servant à injecter du sérum physiologique , et on pratique l 'échographie pendant l'injection.
Cet examen est contre indiqué en cas de grossesse .
LE SUIVI DE LA FEMME
PUBEI!rt ET PIEMIEIS CYCLES Même s'il n'y a pas d 'âge indiqué pour consulter pour la première fois, il est nécessaire d'aller voir un gynécologue au moins une fois par an dès les premiers changements hormonaux, ou à partir du moment où l'on commence à avoir une activité sexuelle.
Au premier rendez-vous , le gynécologue ne pratique en général pas d'examen spécifique .
Il évalue la santé de la patiente et établit un dossier complet à l'aide d 'un questionnaire précis, concernant notamment le passé médical de la patiente, mais aussi la date des premières règles, leur durée et comment se déroulent les cydes .
Si les règles sont douloureuses, il peut éventuellement prescrire une pilule contraceptive.
Il peut également prescrire un -rende collfrtlceptlon et informer sur les MST et la sexualité en général.
la jeune patiente pourra aborder les questions concernant les transformations de son corps, les règles ou d'autres sujets qui la préoccupent Il faut savoir que les centres de planning familial proposent des consultations gynécologiques gratuites et délivrent des contraceptifs gratuitement aux mineures et aux femmes sans ressources.
CONTRACEPTION le gynécologue détermine , avec la patiente , le moyen le plus approprié à ses besoins .
Méthodes honnllllilles • la pilule se prend chaque jour.
Composée d'hormones, elle bloque l'ovulation.
Parmi les effets secondaires , il peut y avoir une prise de poids , des saignements entre les règles (spotting ) ou une douleur dans les seins .
Elle est efficace à 99 %, mais est contre indiquée en cas de diabète,
de cholestérol, d'obésité ou après 35 ans si la personne est fumeuse .
• l'injection de progestatifs intramusculaire s'effectue tous les mois.
• limplant sous-.
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