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Les formes de la croissance

Publié le 08/04/2012

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La puberté est l'époque à laquelle la plupart des filles et des garçons atteignent leur taille limite, bien que le rythme de développement varie considérablement d'un individu à l'autre. Thomas peut très bien atteindre à treize ans la taille d'un mètre cinquante, alors que son ami André conservera pendant quelques années encore sa taille d'avant la puberté pour atteindre ensuite un mètre quatre-vingts.

« gaison, l'hormone somatotrope stimule la croissance des tissus et des viscères, le métabolisme (synthèse des protéi­ nes, utilisation des graisses et du glucose) et favorise l'uti­ lisation du phosphore.

D'autres glandes que l'hypophyse ou la thyroïde participent aussi à la stimulation du pro­ cessus de la croissance, ce sont les glandes surrénales, les glandes parathyroïdes et les glandes génitales.

Toutes ces glandes sont sous le contrôle plus ou moins direct de l'hy ­ pophyse .

Parmi les anomalies de la croissance, le na­ nisme ou son contraire, le gigantisme, résultent respecti- encéphale vement d'une déficience ou d'un excès de la production de l'hormone somatotrope hypophysaire.

Si la surpro­ duction de l'hormone somatotrope survient après la croissance, elle se manifeste par une augmentation du vo­ lume des os de la face, des mains et des pieds, qui porte le nom d'acromégalie.

L'achondropasie est une forme de nanisme héréditaire qui atteint les os longs , en respectant les os du crâne.

Le rachitisme est un trouble du métabo­ lisme du phosphore et du calcium, qui empêche leur in­ corporation dans le tissu osseux en formation.. »

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