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Physiologique la conduction nerveuse

Publié le 12/09/2012

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A. généralités

1. intrduction.

2. Loi de conductibilité

-- première loi : loi d'intégrité des structures: pour que la conduction ait lieu il faut que la fibre soit

indemne. Si on ligature un nerf, les fibres ne peuvent plus communiquer les influx nerveux, c’est le cas

pour les traumatismes des membres.

-- seconde loi : loi de conduction isolé : dans un dans un nerf les fibres ne se communique pas les influx

qui les parcours, les seuls points de communication se trouve au niveau des synapses. Cependant dès

qu'une différence de potentiel apparaît dans l’organisme elle donne naissance à des petits courants

locaux qui modifient l’excitabilité des tissus traversés.

-- 3e loi : loi de conduction indifférente : ( loi expérimentale), lorsqu'on stimule un nerf sur son trajet, il

conduit l'influx indifféremment dans les deux sens avec la même amplitude et la même vitesse.

Cependant physiologiquement l’information est conduite de pôle à pôles : c' est la polarisation dynamique

( de la dendrites, à la synapses)

exemple

-- motoneurones de la corne antérieure de la moelle épinière : influx formées au niveau du segment initial

de l'axone et transmis aux jonctions-neuro-musculaires.

-- fibres sensitives : influx formés au niveau des sites générateurs des récepteurs et transmis aux centres

nerveux .

3. Sens de l'influx.

Le sens de l'influx physiologiques et dit orthodromique

le sens de l'influx théorique et dit antidromique.

B. vitesse de conduction

1. Définition

la vitesse du conduction est mesurée en apprécient le décalage temporel d'apparition du Pa sous deux

électrodes distantes d'une longueur connue. ( pour le nerf moteur on stimule avec deux électrodes)

« vitesse de conduction ( m.s-1) = a.

La vitesse de conduction dans les fibres motrices. Exemple du nerf ulnaire ; on pose deux électrodes de stimulation car si on mesure la vitesse de conduction à partir d'une seule électrodes stimulation, on mesure à la fois : -- le temps synaptique : transmition neuro-musculaire -- le temps d'élaboration du PA -- le temps de conduction b.

La vitesse de conduction pour les fibres sensitives. Pour les fibres sensitives, il est inutile d’utilisé deux électrodes . 2.

Quelques valeurs chez l'homme adulte jeune -- vitesse de conduction motrice dans le membre inférieur : v = 40 m.s exemple : nerf crural : 50 m.s-1 -- vitesse de conduction motrice dans le membre supérieur : v = 50 m.s exemple : nerf radial : 65 m.s-1 NB : d’une manière générale, la vitesse de conduction de l’influx des fibres motrices est inférieure à la vitesse de conduction de l’influx des fibres sensitives. 2.

Quel est but d'un tel calcule ? le but du calcul de la vitesse de conduction et de détecter des liaisons neuroniques. Exemple : polynerfrite : atteinte bilatérale et symétrique des nerfs. 4.

De quoi dépend la vitesse de conduction ? La vitesse de conduction est une constante qui dépend de l'espèce et du groupe nerf mais elle subit des variations ( dans certaines limites la température augmente la vitesse de conduction). Les différents facteurs agissants sur la vitesse de conduction sont : -- la température ; si la température augmente alors la vitesse de conduction de l’influx augmente.

C’est la raison pour laquelle on observe des vitesse de conduction plus élevé chez les organisme homéothermes que chez les organismes poïkiléothermes. -- la gaine de myéline : la gaine de myéline permet de transmettre une information plus rapidement -- le diamètre du nerf: plus le nerfs est gros, plus la fibres grosse, plus l' information est rapide avec un PA plus grand, une excitabilité plus élevée, une période réfractaire absolue plus courte.

Mais attention plus une fibre est grosse, plus l'axone est gros et plus le corps cellulaire est gros , donc moins excitable. Cela explique pourquoi les petits l'influx agissent mal sur les gros nerfs.. »

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