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Résumé de la SEPTIÈME PARTIE de GERMINAL de ZOLA

Publié le 22/02/2012

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germinal
De la mi-février à la mi-avril 1867. CHAPITRE I : Echec de la grève Durée : 1 semaine (3e semaine de février 1867). La grève a échoué mais l'affrontement sanglant de la Compagnie et des grévistes n'a pas manqué d'entraîner des répercussions nationales : l'Empire en sort affaibli et cherche à minimiser la gravité de l'événement. La Compagnie invite à la reprise du travail en accordant l'amnistie aux militants, elle remercie les Belges et l'armée, promet des améliorations. La Maheude refuse de reprendre le travail, elle impute à Etienne le malheur accru des ouvriers. Mis en accusation par la Maheude, dégoûté par les mineurs qu'il n'a pas su rallier à sa cause, effrayé par le peuple mécontent, Etienne est aussi la cible de ses anciens compagnons et il échappe de peu à une lapidation mortelle en trouvant protection auprès de Rasseneur, lequel reconquiert, auprès des mineurs, la popularité que s'était acquise Etienne.
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« Souvarine, lequel cherche, un instant, à le retenir, mais sans succès. CHAPITRE III : l'inondation du VoreuxDurée : 13 h (toute la journée du lundi, de 4 h à 17 h).

Etienne reprend le travail au Voreux et doit subir lesremarques narquoises des mineurs.

Il faut commencer par remettre la mine en état.

Or le cuvelage cède à 300 m deprofondeur et laisse alors libre cours au déversement catastrophique du torrent souterrain.Dansaert, par lâcheté, est déjà remonté dans la dernière cage disponible.L'eau monte ; une quinzaine de mineurs, prisonniers de l'inondation, tentent de fuir.Négrel découvre les traces révélatrices de l'attentat et fait évacuer la fosse.

Il reste à tenter le sauvetage desmineurs restés au fond : on creuse une galerie dans le puits abandonné de Réquillart.Un séisme entraîne l'écroulement du Voreux, le canal venant, de surcroît, se déverser dans le puits, tandis queSouvarine disparaît dans la nuit, sa mission accomplie. CHAPITRE IV : le sauvetageDurée : les 15 jours suivants (février-mars).

La Compagnie décide de faire le silence sur le sabotage du Voreux, touten prenant des mesures rigoureuses de surveillance.

Dansaert est congédié.On s'ingénie à sauver la quinzaine de mineurs ensevelis.

Négrel ordonne de creuser des galeries par l'accès queprésente le puits de Réquillart.

Zacharie se montre le plus acharné à la tâche, dans l'impatience de délivrer sa soeur,Catherine, mais, une douzaine de jours plus tard, sans qu'il y ait réussi, un coup de grisou le tue.

Bientôt, on neperçoit plus aucun signe de vie, au fond.Les Grégoire, venus rendre une visite de charité à Bonnemort, immobilisé, retrouvent leur fille étranglée par levieillard, jugé dément, mais dont il est permis de penser qu'il a agi par rancune.Cécile étant morte, Hennebeau n'a plus à craindre que sa femme prenne un autre amant que Négrel, fiancé à lajeune fille. CHAPITRE V : amour et mortDurée : les mêmes 15 jours (voir chapitre IV).

C'est la débandade au fond du puits : tous les mineurs prisonnierscherchent une issue par la fosse de Réquillart, assaillis par la montée irrépressible des eaux.Bataille, le vieux cheval de mine, agonise, en essayant de se dégager.Etienne et Chaval, enfermés dans le même tronçon de galerie, s'affrontent sous le regard de Catherine.

Etienneécrase la tête de Chaval avec un bloc de pierre.Malgré le froid, la faim, l'obscurité, le manque d'air, l'angoisse de mourir — tous périls qui les plongent dansl'hébétement et le délire —, Etienne retrouve enfin Catherine, dans une étreinte éperdue.

Catherine mourra dans sesbras puis l'équipe de secours, conduite par Négrel, parviendra jusqu'à lui et l'on verra Négrel fraterniser avecEtienne, tandis que la Maheude criera son désespoir.Etienne est devenu un vieillard aux cheveux blancs. CHAPITRE VI : la germination d'une société nouvelle (épilogue)Durée : un matin d'avril, de 4 h à 6 h, après une interruption de 6 semaines, correspondant au séjour à l'hôpitald'Etienne.

Avant de gagner Paris, où l'attend Pluchart, Etienne vient faire ses adieux à Jean-Bart.En cet avril printanier, mois du renouveau, Etienne comprend que les mineurs, bien qu'ils aient repris le travail,résignés à la « nécessité du ventre », n'ont pas perdu l'espoir de prendre leur revanche.La Maheude, pour faire vivre sa famille, besogne près de l'enfer du Tartaret.

Elle se réconcilie avec Etienne qui, fortde ses échecs et de son expérience, veut poursuivre sa lutte afin de faire triompher la révolution proche, non plusen recourant à la violence mais en organisant, légalement, les forces vives à l'oeuvre dans la société.Les coups de pics des mineurs au travail sont comme l'annonce de la germination et des moissons futures.. »

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