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Les régions russes traditionnelles

Publié le 22/03/2020

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La région de Moscou : centre moteur principal. La « région in­dustrielle centrale » concentre les fabrications très élaborées (machines­outils, automobiles, informatique ... ), ainsi que les industries de l'ar­mement les plus sophistiquées et les unités vouées à la recherche avan­cée. Dans cette région, l'agriculture s'est intensifiée afin d'approvisionner les grands centres urbains, notamment Moscou (cf. carte).

De St. Pétersbourg à Minsk : une région motrice secondaire. L'ensemble formé par l'enclave de Kaliningrad et le Nord de la Biélorus­sie est en plein essor. Ses activités s'appuient sur l'hydroélectricité ou les industries portuaires et s'orientent vers l'électronique et l'informa­tique. La région bénéficie, en outre, d'une agriculture exceptionnelle­ment intensive et d'un taux élevé d'urbanisation (cf. carte).

« Les régions traditionnelles a.

cc Centres moteurs » et dépendances rurales ■ La région de Moscou : centre moteur principal.

La « région in­ dustrielle centrale » concentre les fabrications très élaborées (machines­ outils, automobiles, informatique ...

), ainsi que les industries de l'ar­ mement les plus sophistiquées et les unités vouées à la recherche avan­ cée.

Dans cette région, l'agriculture s'est intensifiée afin d'approvisionner les grands centres urbains, notamment Moscou (cf.

carte). ■ De St.

Pétersbourg à Minsk : une région motrice secondaire. L'ensemble formé par l'enclave de Kaliningrad et le Nord de la Biélorus­ sie est en plein essor.

Ses activités s'appuient sur l'hydroélectricité ou les industries portuaires et s'orientent vers l'électronique et l'informa­ tique.

La région bénéficie, en outre, d'une agriculture exceptionnelle­ ment intensive et d'un taux élevé d'urbanisation (cf.

carte). If> Un es ace multipolaire : l'Ukraine Une puissante région agricole.

La fertilité des terres noires, l'irri­ gation et l'équipement agricole en font une zone à blé, betterave à sucre, tournesol, d'élevage de bovins et de porcins.

■ Deux grandes bases d'indust ries lourdes.

L'ensemble Donetsk­ Dniepr renferme un gros bassin houiller sur lequel se sont développées sidérurgie, carbochimie et usines de matériels d'équipement.

Près des hydrocentrales du Dniepr, fonctionnent des usines d'électrométallurgie (aluminium) et d'électrochimie.

Aucun pôle urbain dominant en Ukraine, mais Kiev l'emporte sur Kharkov (cf.

carte). E> Les ériphéries européennes et asiati ues ■ Une « rue industr ielle » : les pays de la Volga moyenne.

L'amé­ nagement de la Volga par la construction de grands barrages réservoirs, l'exploitation du pétrole du « 28 Bakou » ont fait surgir, depuis 1945 surtout, une série de villes industrielles, échelonnées de Kazan à Vol­ gograd, mais aucune n'est parvenue à struct urer cet ensemble, voué aux industries automobiles, aérospatiales et à la pétrochimie (cf.

carte). ■ Un espace intégré : l'Dural.

Disposant d'un énorme gisement de fer et d'une riche gamme de métaux non ferreux, l'Oural bénéficie des importants gisements d'hydrocarbures du 28 Bakou.

A ·sa puis sante sidérurgie, il associe des industries de transformation (chimie, textile). Des villes comme Ekaterinbourg, Tchéliabinsk contribuent à l'équipe­ ment des nouvelles régions industrielles en Sibérie. ■ Les « midis » soviétiques : des espaces dominés.

La Transcauca­ sie, originale par ses populations (Arméniens, Azéris) foumij aux • centres moteurs • des denrées alimentaires, des minerais, et depuis peu l'informatique anime une ville comme Bakou.

L'Asie centrale livre des matières brutes aux centres moteurs, le coton n'est qu'en partie transformé sur place mais une industrie moderne anime Tachkent (cf.

carte).. »

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