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Adam Smith et la division du travail

Publié le 12/07/2012

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travail

Ce besoin d’échanges permanent a eu des répercutions économiques au niveau mondial. En effet, l’augmentation de la division du travail de la division du travail implique une croissance de la production économique. Ce phénomène engendre la montée du capitalisme. La division du travail a donc eu une conséquence sur la société marchande qui a eu une certaine « harmonie sociale « et ce grâce à la main invisible (annexe 5). Toutefois, nous pourrions être tentés de penser que l’homme éprouve le besoin d’échanger uniquement dans son propre intérêt et nous pourrions croire que l’homme a un penchant égoïste. En réalité, de ces échanges ont résulté le rapprochement d’individus car la société se développe par la division du travail et donc l’échange marchand. Les hommes ont des talents naturels différents ce qui enrichie énormément la société. Adam Smith énonce clairement que c’est plus intelligent de d’échanger avec le monde extérieur car sinon l’homme serait obliger de se procurer tout ce dont il a besoin par lui même. La diversité n’existerait pas alors que les talents sont utiles les uns aux autres. Adam Smith voit en tout cela un enrichissement progressif de la nation. Grâce aux lois du marché, il décrit une société se conduisant vers l’opulence. En d’autres termes, on peut parler de consommation de masse (même si le mot arrive après la 2ème Guerre Mondiale…). Adam Smith voit dans l’accumulation du capital c’est à dire l’investissement en machines l’occasion d’augmenter la productivité ainsi que la division du travail.

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« On distingue trois raisons qui font que les quantités d’ouvrage produites augmentent :-L’habileté-L’épargne du temps-L’invention des machinesTout d’abord, l’habileté est la première raison qui augmente la quantité d’ouvrage.

En effet, l’ouvrier doit réaliser des tâches qui demandent un geste simple etrépétitif.

L’ouvrier répétant ce geste toute la journée s’en accoutume et devient de plus en plus rapide dans son geste.

Il y a donc en conséquence une perte de tempsbeaucoup moins importante entre les différentes tâches à accomplir.

Dans cette nouvelle organisation, ce sont les produits qui viennent aux ouvriers et non l’inverse.Le gain de temps est énorme et la quantité d’ouvrages produite augmente considérablement.

Enfin, l’apparition des machines dans les usines a grandement facilité larapidité de production.

L’automatisme est le geste parfaitement régulier, régler à la seconde prêt qui rythme la cadence de production.

La machine est encore plusprécise que les doigts de l’homme, là encore le gain de temps est immense.Economiquement parlant, on assiste à une réelle « abondance universelle » car les usines sont à même d’échanger une grande quantité de marchandises. Après avoir observé une vue globale de la division du travail, nous devons analyser les conséquences de la division du travail. Dans son article, Adam Smith analyse les conséquences qui ont amené progressivement à la division du travail.

Il énonce clairement « elle est la conséquencenécessaire, quoique lente et graduelle, d’un certain penchant naturel à tous les hommes qui ne proposent pas de vues d’utilité aussi étendues : C’est le penchant quiles porte à trafiquer, à faire des trocs et des échanges d’une chose pour une autre ».En effet, la première conséquence de la division du travail est l’échange.

Au sein des sociétés, les hommes se répartissent les tâches pour vivre dans leur société etéchangeant les fruits de leur travail.

En conséquence, les échanges augmentent, les hommes doivent se consacrer à des tâches qu’ils effectuent le mieux.

Ils attendenten retour la satisfaction des biens que fournissent les autres.

On pourrait rapprocher cette idée de la théorie des avantages comparatifs de David Ricardo qui exposele fait que chaque pays doit se spécialiser dans le domaine dans lequel ils excellent. Cette théorie prouve qu’un pays gagne à échanger leur production plutôt que de vivre en autarcie.Adam Smith part du principe que l’on travaille par intérêt car l’homme a besoin de l’autre pour survivre car il ne sait pas tout faire.

Il n’agit pas, il ne travaille paspour les autres mais pour lui même dans l’espoir d’obtenir ce qu’il cherche de la part des autres.

Il le résume avec cette phrase « Donnez moi ce dont j’ai besoin, etvous aurez de moi ce dont vous avez besoin vous-même.

» Il s’agit d’une politique de « donnant-donnant ».

Les hommes prennent le meilleur des autres uniquementpour leur intérêt personnel car ils ont un besoin continuel du savoir des autres.

En fait, ils se sont mutuellement nécessaires.Ce besoin d’échanges permanent a eu des répercutions économiques au niveau mondial.

En effet, l’augmentation de la division du travail de la division du travailimplique une croissance de la production économique.

Ce phénomène engendre la montée du capitalisme.

La division du travail a donc eu une conséquence sur lasociété marchande qui a eu une certaine « harmonie sociale » et ce grâce à la main invisible (annexe 5).

Toutefois, nous pourrions être tentés de penser que l’hommeéprouve le besoin d’échanger uniquement dans son propre intérêt et nous pourrions croire que l’homme a un penchant égoïste.

En réalité, de ces échanges ont résultéle rapprochement d’individus car la société se développe par la division du travail et donc l’échange marchand.

Les hommes ont des talents naturels différents ce quienrichie énormément la société.Adam Smith énonce clairement que c’est plus intelligent de d’échanger avec le monde extérieur car sinon l’homme serait obliger de se procurer tout ce dont il abesoin par lui même.

La diversité n’existerait pas alors que les talents sont utiles les uns aux autres.

Adam Smith voit en tout cela un enrichissement progressif de lanation.

Grâce aux lois du marché, il décrit une société se conduisant vers l’opulence.

En d’autres termes, on peut parler de consommation de masse (même si le motarrive après la 2ème Guerre Mondiale…).

Adam Smith voit dans l’accumulation du capital c’est à dire l’investissement en machines l’occasion d’augmenter laproductivité ainsi que la division du travail.Cependant, sa théorie sur l’accumulation du capital a été contestée par plusieurs personnalités dont Jean-Jacques Rousseau.

Ce dernier pose la limite de la divisiondu travail et de la mécanisation du travail car selon lui « les arts se perfectionnent qu’en se subdivisant et en multipliant à l’infini les techniques : à quoi cela sert-ild’être un être sensible et raisonnable, c’est une machine qui en mène une autre ».

Jean-Louis Peaucelle pense que le machinisme est une cause et non uneconséquence de le travail.

Par conséquent, Adam Smith négligerait le problème de l’harmonisation de la cadence.Enfin, Adam Smith aborde le problème de la taille du marché.

En effet, les étendues du marché doit être en proportion avec le pays.

En d’autres termes, l’entreprisedoit être en mesure d’exporter ce qu’elle produit afin de ne pas avoir de problèmes de stocks. Après avoir analysé en détails les conséquences de la division du travail, nous allons voir dans une troisième partie que la division a eu des avantages considérablesmais que toutefois elle a pu être critiquée. Tout d’abord, nous allons aborder les avantages de la division du travail car cela a changé de façon considérable les méthodes de production des entreprises et apermis au monde de se tourner vers une production de masse et donc de consommation de masse.

Adam Smith donne cet exemple de la manufacture d’épingle anourrisse.

Avant la division du travail, Adam Smith a put observer qu’ un ouvrier produisait une vingtaine d’épingles (10 employer X 20 représente donc seulement200 épingles par jours en production total)par jour, après la division des taches, la production total est de plus de quarante huit milliers d’épingles, soit près de 4800épingles par employé, par jour.Grâces aux gains de productivité, les quantités produites augmente comme nous l’avons précédemment expliqué mais les prix de ventes baisses se qui donne auproduit une certaine accessibilité pour le consommateur modeste, ce qui permet d’atteindre l’opulence général, soit les satisfactions des besoins de tous.Au niveau international, la division du travail accompagnée d’échanges entre les nations est aussi source de gains pour tous les pays.

En effet, la production de massepermet d’exporter les produits et donc de s’ouvrir sur le reste du monde.La division du travail, comme l’explique Adam Smith s’adapte en fonction de la taille de l’entreprise.

Plus l’entreprise est importante plus les taches serons divisé.Elle a contribué d’un point de vue sociologique au passage d’une société mécanique, ou chaque personnes produit pour lui-même et vend son surplus ; à une sociétéorganique ou chaque individu travail pour lui mais aussi pour le reste de la communauté (elle s’organise à la manière d’un corps humain ou chaque individu ce voitconfier une tache spécifique en fonction de sa spécialités ; comme le corps humain toute ses différentes activités contribuent au bon fonctionnement de la société.).Enfin, Adam Smith explique que la division du travail stimule l’invention et l’innovation. La division du travail présente de nombreux avantages, mais elle présente aussi de nombreux inconvenant qu’Adam Smith va en partie démontrer dans son œuvre. Smith démontre lui-même dans son livre que la division du travail va a l’encontre du développement intellectuel des travailleurs « Ainsi, sa dextérité dans son métierparticulier est une qualité qu'il semble avoir acquise aux dépens de ses qualités Intellectuelles ».

Le travail de l’individu ne nécessite aucune réflexion, et larépétitivité des mouvements peuvent conduire l’ouvrier vers la dépression ou l’alcoolisme (au début du vingtième siècle, les hommes travaillants dans les usines Forddéprimait de par cette trop grande divisons des taches et le manque de contact Humain).Une autre limite de la division du travail c’est l’isolement social entre les individus, pas besoin de parler, de communiquer, le travail n’est qu’une suite de mouvementplus que répétitifs.

Mais ces limites ne sont que mineurs, en effet elle n’empêchera pas deux siècle plus tard la mise en place du taylorisme.Mais une limites va s’avérer être un réel danger pour la division du travail.

C’est la taille des marchés, en effet la production étant destiné à la vente, on ne peutproduire de façon illimitée.

Smith dira lui-même que la taille des marchés limites l’importance de la division du travail.Preuve à l’appui, en 1929, la trop forte production à provoqué un effet de surplus, de ce surplus a surgis l’une des plus grandes crises économique que le monde aitconnu.. »

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