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Bel-Ami, une peinture de la vie mondaine Parisienne

Publié le 05/11/2012

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Ainsi, ce cercle privé mène une existence paisible, en marge de la majeure partie de la société composée

essentiellement de classes pauvres où le but de la vie est de vivre plus que survivre. Ces pauvres gens ont

l’habitude de mener dur labeur afin de se nourrir, eux et leur famille.

On peut donc dire que cette sphère sociale mène une existence paisible et oisive, elle goûte aux plaisirs de

la vie et laisse finalement la majorité des pauvres travailler à leur place. Elle représente le déclin de la

noblesse plusieurs siècles auparavant alors que leurs privilèges n’avaient pas encore été abolis sous la

monarchie.

« Ainsi, ce cercle privé mène une existence paisible, en marge de la majeure partie de la société composée essentiellement de classes pauvres où le but de la vie est de vivre plus que survivre.

Ces pauvres gens ont l’habitude de mener dur labeur afin de se nourrir, eux et leur famille. On peut donc dire que cette sphère sociale mène une existence paisible et oisive, elle goûte aux plaisirs de la vie et laisse finalement la majorité des pauvres travailler à leur place.

Elle représente le déclin de la noblesse plusieurs siècles auparavant alors que leurs privilèges n’avaient pas encore été abolis sous la monarchie.

Cette vie mondaine parisienne est opposée à une vie rurale et monotone dépeinte dans Madame Bovary de Flauber. »

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