Le Mont des Oliviers de Vigny
Publié le 27/06/2011
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Le Mont des Oliviers n'est pas moins sincère. Dans cette longue plainte que le Christ souffrant adresse à son Père, Vigny a exprimé sa propre angoisse religieuse aux environs de 1840. Après les élans de ferveur sacrée qui ont suivi la mort de sa mère, le poète est revenu au pessimisme antichrétien qui apparaissait déjà dans Moïse et qui demeurait présent dans le cycle de Stello, quoique nuancé, dans Daphné, d'un certain pragmatisme. Depuis 1837, d'ailleurs, son attitude s'est raidie encore, sous l'influence de certaines lectures. En particulier, il a été profondément troublé par un livre de Strauss sur la vie de Jésus, traduit de l'allemand par Littré en 1835. Il définit ainsi, dans le Journal, l'esprit de cet ouvrage :
Liens utiles
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- MAÎTRE DU CYCIE DE VYSSI BROD: Le Christ au mont des Oliviers (analyse du tableau).
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- «Moïse », « la colère de Samson », « le Mont des Oliviers »