Sujet d'invention, sur la rencontre amoureuse

« Et voilà.

Elle moi étions redevenu enfant.

Nous jouions, sûrement au chat et a la souris.

Elle chat, moi souris. Elle tournait je tournais, elle tourbillonnait, je m'illuminais.

Plus je me rapprochais d'elle.

Plus je l'aimais.

Elle rigolait, d'un rire insouciant, elle se jouait de moi, rigolant de mon air béat devant elle, de mon incrédulité face à ses sourires, ses mimiques...

Elle était parfaite. Elle s'approchait maintenant des escalier.

Ces fameux escalier de Montmartre.

Hors de question de la laisser s'échapper maintenant.

Arrivé en bas, je l'attrapais par le bras afin de lui montrer qui était le ''chat''. Lorsqu'enfin je vis son visage de près.

Ce fut comme une claque en plein visage.

La perfection se tenait en face de moi.

Elle avait de longues boucles brunes, qui ne semblait jamais s'arrêter.

Son visage rond parsemé de petites tache de rousseurs était magnifique son petit nez retroussé, lui donné l'air d'un renarde.

Et sa bouche si tendre, si sensuelle me donnait envie de l'embrasser, jusqu'à l'étouffement, jusqu'à ce qu'elle me supplie d'arrêter.

Mais ce qui m'étonnas encore plus, ce fut ses yeux.

Ses yeux bleu, si limpides si magnifique...J'avais réussi.

Réussi a la rattraper, cet beauté, je l'avais regardé, et maintenant je pouvais me perdre dans ses yeux. Dans cet océan bleu et ce, pour l'éternité... Je la voyais gigoter, elle voulait que je la lâche.

Je m'exécutais...

Elle me regarda, puis ferma les yeux.

Et s'approcha, pour enfin m'embrasser avec fougue.

Elle noua ses bras autour de ma nuque, et je ne pu m'empêcher de laisser glisser mes mains le long de ses hanches parfaites, je sentais ses cheveux me caresser les doigts mais je m'en souciais pas, je profitais de ce baiser. Je ne peux oublier le plaisir intense de sentir ses lèvre contre les miennes, ressentir ses caresses d'une extrême douceur.

Réunir nos lèvres pour ce merveilleux baiser.

C'était mon Aphrodite.

Et pour rien au monde, je la laisserais partir.  . »