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La théorie de la valeur chez les classiques

Publié le 31/07/2012

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La démarche de Marx consiste à passer de l’apparence des faits économiques à l’essence de ces derniers, car il pense que le capitalisme est un système opaque. Pour lui la valeur supplémentaire créer par le travailleur, ce qu’il nomme la plus-value, est approprié par le capitaliste qui donc exproprie de sont travail celui qui l’a fourni à la base. Il adopte une démarche basée sur un «matérialisme dialectique «, c'est-à-dire qu’au travers d’une séquence, thèse (naissance du capitalisme), antithèse (contradiction interne au capitalisme) synthèse (grande crise qui remet en cause les structures en place et font apparaitre un nouveau mode de production), il veut montrer que le capitalisme tel qu’il est définit et appliquer est voué à disparaitre sous la pression de ses contradictions interne. Marx a une approche globale du capitalisme, pas seulement en tant que système économique, mais aussi en tant que société et moment historique, il réfute le réductionnisme de Smith et Ricardo autour du marché, mais préfère élargir sa réflexion sur les désordres sociaux mis en place par la révolution industrielle.

« 2) Les théories du commerce international Ricardo, reprend la « théorie des avantages absolus » de Smith, qui dit qu'un pays à intérêt à se spécialiser dans la production où il possède le moins de désavantagesabsolu ou le plus d'avantages absolus.

Autrement dit se spécialiser là ou il est le plus fort par rapport à ses concurrents.

Mais Ricardo modifie légèrement cette théoriecar il se rend compte qu'elle exclu les pays qui ne seraient pas les meilleurs dans aucunes productions.

Il élabore donc la « théorie des avantages comparatifs » qui ditqu'un pays a intérêt à se spécialiser dans la production ou il a le meilleur avantage comparatif, autrement là ou il a les meilleurs rendements (cf.

exemple du drapanglais, et vin portugais).

Cette théorie serait une solution car en effet le salaire de subsistance étant au minimum, les excédents de production ne seraient pas acheterpar les salariés ou les habitants du pays dans lequel ces produits auraient été produits, il faut donc les vendre aux autres pays qui se serviront du même mécanisme enretour. B) Marx auteur critique du capitalisme 1) Démarche et définition du capitalisme chez Marx La démarche de Marx consiste à passer de l'apparence des faits économiques à l'essence de ces derniers, car il pense que le capitalisme est un système opaque.

Pourlui la valeur supplémentaire créer par le travailleur, ce qu'il nomme la plus-value, est approprié par le capitaliste qui donc exproprie de sont travail celui qui l'a fournià la base.

Il adopte une démarche basée sur un «matérialisme dialectique », c'est-à-dire qu'au travers d'une séquence, thèse (naissance du capitalisme), antithèse(contradiction interne au capitalisme) synthèse (grande crise qui remet en cause les structures en place et font apparaitre un nouveau mode de production), il veutmontrer que le capitalisme tel qu'il est définit et appliquer est voué à disparaitre sous la pression de ses contradictions interne.

Marx a une approche globale ducapitalisme, pas seulement en tant que système économique, mais aussi en tant que société et moment historique, il réfute le réductionnisme de Smith et Ricardoautour du marché, mais préfère élargir sa réflexion sur les désordres sociaux mis en place par la révolution industrielle. 2) Les schémas de reproductions du capitalisme Marx perçoit des déséquilibres internes au capitalisme, et notamment dans ces schémas de reproduction.

En effet il distingue ce qu'il nomme la reproduction simplec'est-à-dire une reproduction à l'identique, sans croissance et avec les même capacités de production d'une année à l'autre.

Mais il dit que ce schéma n'a aucunechance d'aboutir car, il résulte d'un équilibre parfait entre l'offre et la demande.

Or il n'existe aucune commune mesure entre ces deux grandeurs, les contradictionsferont qu'augmenter jusqu'à arriver à la grande crise.

Il y a un deuxième schéma qui est celui de la reproduction élargit, c'est-à-dire une conception avec l'apparitionde la notion de croissance économique.

Or on l'a vu avec les systèmes d'apparition d'état stationnaire que la croissance engendre elle-même un arrêt de la croissance.Par conséquent les contradictions internes se renforçant au fur et a mesure que le capitalisme avance dans le temps, plus la grande crise sera inévitable et fera naitreun système socialiste. Conclusion : Les auteurs du mouvement classique ont fait naître l'économie en tant que discipline à part entière.

Ils ont été les précurseurs et les pères fondateurs del'économie moderne, et nous voyons par leurs travaux parfois complémentaires ou contradictoires que les visions de l'économie sont plurielles, comme elles le sontactuellement.Ce qui nous amène à nous interroger si l'économie serait une science exacte comme veulent prétendre les économistes prônant l'utilisation des sciences dures, ou si ils'agit d'une science humaine où l'homme serait un acteur de premier ordre.. »

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