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Publié le 26/02/2014

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C l·!k-Li ~1illlL' \(lJl lll'1rJ lll'11' rL·'tL' l ll,ati,L1ik 'l'\llL·iklllL'lll. \ prè, '"11 ,,·r1 lCL' 1111l1ta1rê. un JèllllL' lwllllllc llL\llllllé ·1,11,1.11 rL·liL'llt Clll 1 tllagc. li .lllllè SL·~i c·t lu1 l.c1it u1ic· L·,1ur p rc"CI!ltè. l n jt1ur. il L1 ' urprcnd d an' " 'il '"i1lillL'li. écc1rk d'c>lk k icll!lL' L'lllant q ui dcirt .111'\I. 11ui, l11i 1·c1it - l.:11n(H1r Sl·h.i rt.:tr11u\c 1 1th: p:1,-.,i(111 (iuhli~''-' dL'['lli' trc1p [,111gtL'illP' c·t .1ccq1tL· tc1ut d e " 'll i,·111lL' '1111.lllt. Tc11c1ii. p11ur CillÏrlllL'I ,,1 p11o'L'-,-..,i1111 LL' \ ,; 1 \ \ l '. · I : ( ,J \ , ( ,, \ ., ',;, 1 \ 11 '· \ 11 !< \ )! ~ 1 ., , i1i i 11 -, -. . ! 1 , \ \ \ , , ' '. h. \ ' \ \ :~ \ / \!-, 1 d,i " 11< \ 1,!,l!, Lt L .'!lll1k'. lui rcl'-1.._' k·:--- jlllih 1.lll h,1-..- Il p lu" 1..'IlL'\lJ\_' ( Ji-.,;th\lrl1 d (lll di-.,par<1itrl.'. ti:11ii r éLh"iÎt ~'1 L 'llll\ai11L·r'--' ~L·k1 c k l'Ciickr \ in,i. u n , ,nr. k ' dct1'\ a manh \c_'llll'L'. h () ·. 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L iliane Auphal L 'allumeuse L 'infirme M me A uphal Sarah Robski . ........ . L 'agent d e S arah Robski . ...... . Vénus François M ARTHOURET Roger P LANCHON Claude MARCAULT Isabelle G ANZ Corinne CLÈVE Françoise L UGAGNE Anna P RUCNAL Laszlo S ZABO Jean MARTIN L'HISTOIRE D ominique A uphal, h aut fonctionnaire français, marié, deux enfants, est n ommé à un poste-clé d ans un organisme international chargé d e d évelopper les échanges c ommerciaux avec les pays d u t iers-monde. P our des services secrets étrangers, il d evient le n uméro 5 1. C es services o uvrent un dossier « 51 « d ans le b ut de pouvoir, le m oment o pportun, le m anoeuvrer, le m anipuler. Les agents d u service agissent en techniciens, avec un d étachement clinique, sans curiosité, sans passion. Le dossier est une recherche systématique d e t ous les d ocuments qui p euvent é clairer le p ersonnage. Un r egard objectif, anonyme, est b raqué s ur la vie q uotidienne d e 5 1, à s on insu. Ses faits et gestes les plus anodins, les plus intimes, ceux mêmes qui n 'atteignent pas -,a c onscience, sont m éthodiquement, m éticuleusement notés, enregistrés, filmés. T out c ela conduira 5 l à sa p erte .. L A PETITE HISTOIRE « Dossier 51 « s'inspire d'une histoire véridique Gilles Perrault ( LE S ECRET D U J OUR J, L 'ORCHESTRE R OUGE. L A L ONGUE T RAQUE, L E P ULL-OVf,R R OUGE) n'a inventé que le passé prêté à 51. diplomate français qui a subi les méthodes décrites dans le roman et le film avec une fin identique, ainsi que les détails de sa vie privée et de sa carrière. Pour lui, les grands services (C.I.A., K .G.B .. M5!6, SDECE. Shinbeth. etc.) emploient tous des équipes de psychiatres et de psychanalistes qui ont pour objectif, « fracturant l'inconscient pour contourner les barrières psychologiques, anihiler les réactions défensives, s'installer au coeur de /' « ego «, de prendre un individu sous contrôle. I ls' agit pour les manipulateurs de découvrir, en cet individu, cette part de lui-même qui lui demeure i gnorée«. Pour ce qui est de la C .I.A .. des rapports officiels du Sénat américain noll\ ont appris qu'elle disposait de compagnies aériennes. d'universités, d'hôpitaux, qu'elle employait plus de 2 0 0 00 personnes dont plusieurs centaines de chercheurs de pointe et /'on sait que son budget dépasse celui de la Défense Nationale Française. force de frappe comprise. Pour. dans « Dossier 51 « , montrer que le « Service « est plllS important que les « agents « , Michel Dei·i//e a utilisé un procédé assez rare au cinéma : la caméra subjective. A vant lui, Robert Montgomer.v avait ainsi entièrement réalisé L A D AME D U L AC, et De/mer Daves le déhut des P ASSAGERS D E L A NUIT. Pour Michel Deville : « la caméra espionne, scrute un visage, une lettre, une photo, un écran, etc. ;3 : r~·gr;1ph1..: L arr' I TLLER C CC F ilmkun't ( Berlin) . \udilïlm-( ·a m idi' ( une ">élection E .P.l.C.) 1 00 minute'> P roduLtltHl . ! )i,trihution . ....... . l lur0c . ...................... . DEUX HEURES DE COLLE... POUR UN BAISER D éborah C ollins . ............................... . F .I.B.S . ....................................... . F letcher. d irecteur d u c ollège de garçon<; . ... . E t . ........................................... . A b ord d 'un t rain, D eborah C ollim. u ne J eune a méricaine d e q uinze a ns et F rederik l r win B enjamin S inclair R eynolds, s urnommé F .l.B.S. f ont c onnaissance. Ils s ont t ous d eux i ssus de l a b ourgeoisie et s ont i nternes d ans u n c ollège h uppé d e S uisse. Q ui p lus e st, l eurs é tablissements s ont t out p roches. A ussi se fixent-ils r endez-vous la n uit, a uprès d u lac. M ais, a u m oment d e faire le m ur F rederik est s urpris p ar s on d irecteur. F letcher. D eborah l 'attend m ais c omme il ne vient p as elle finit p ar c roire q ue le j eune g arçon s 'est m oqué d 'elle. D e r etour d ans s a c hambrée elle d écide, a vec ses a mies M arie-Louise. J ane, G ina et G aby, d e f onder le c lub d es a mours i llimités. Si les g arçons d 'en f ace v eulent p rofiter d'elles, il l eur en c oûtera de l 'argent. b eaucoup d 'argent. N a'1assja K INSKI G erry S UNDQUIST Kurt RAAB N. G REAVES, C . O HRNER, V. D ELBOURG, G. B LUM, S . D 'A\1A T O, S . C HAPMAN Les g arçons. i nformés de la n ouvelle, m ettent s ur p ied d es c oncours p our d éterminer l eur o rdre d e p assage. Les r encontres n octurnes v ont a insi se s uccéder. d ans u ne p etite b arque o u s ur l 'embarcadère. U ne n uit, u n c ouple a dulte s 'est d onné r endez-vous a u m ême e ndroit. L a f emme d écouvrira a vec s urprise q ue s on a mant a b ien r ajeuni. L 'homme q u'il en est de m ême p our s a p artenaire. D eborah d evra a ttendre l a fin d 'année et la fête o rganisée p ar les d eux c ollèges p our p ouvoir e nfin c onnaître l 'amour t endre a vec F rederik, a lors q ue ses c opines se l ancent d ans u ne " party" o rgiaque s ous l 'oeil a musé d u d irecteur F letcher. M ais i ndignée, la d irectrice o rdonnera le r envoi d e D eborah. ;: ID "' L e f ilm serait totalement passé inaperçu si Natassja Kinski. la f ille de Klaus, n'avait tourné LA F ILLE d 'Alberto Lattuada peu après, f ilm qui avait eu quelque succès. Aussi D EUX H EURES D E C OLLE... P OUR U N 6 '~ " B AISER a -t-il pu trouver un d istributeur en France. profitant de la publicité. :li A ndré Farwagi, le réalisateur, avait é té ~ révélé en France par L E T EMPS D E M OURIR, E un f ilm séduisant, tourné en 1970. @ _______________________________________ ..... ~// Les Fiches de Monsieur Cinéma H istoire I llustrée d u C inéma M ondial DES PAIR R éalisation . ................................... S cénario . ..................................... D 'après le r oman d e . ........................... D irecteur d e p hotographie . ...................... M usique . ..................................... P roduction . ................................... . . . . . . D istribution . .................................. . D urée R.W. F ASSBINDER ( 1978) Tom S TOPPARD Vladimir N ABOKOV

« Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial L'EMPIRE DE LA PASSION Réalisation et scénario ..........................

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Nagisa OSHIMA (1978) ltoko NAKAMURA D'après un récit de ............................

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Directeur de la photographie ......................

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Y.

MIY AJIMA (Eastmancolor) Torn TAKEMITSU Musique ......................................

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Production ....................................

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Anatole DAUMAN, Distribution Durée pour Argos Films (Paris) et pour Ushima Productions (Tokyo) Argos Films 108 minutes INTERPRÉTATION ~~ ··················\ ··················\ ······ Kazuko YOSHIYUKI Tatsuya FUJI Takahiro T AMURA Takuzo KAWA T ANI AkikoKOYAMA Taijiro TONOY AMA Sumie SASAKI Toyoji .......................................

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Gisaburo, le mari de Seki .......................

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L'inspecteur Hotta .............................

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La patronne ..................................

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Toichiro ......................................

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Odame .......................................

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L'épicier Eizo KIT AMURA L'HISTOIRE Dans un village de montagne du Japon, en 1895, Seki, une belle jeune femme, est mariée à Gisaburo, un conducteur de pousse-pousse vieillissant, avec qui elle n'a plus guère de relations.

Elle fait bientôt connaissance de Toyoji, un jeune homme impétueux qui a terminé son service militaire, et dont le frère, Denzo, est à moitié idiot.

Toyoji prend un ascendant de plus en plus précis sur Seki, à qui il demande même de raser son sexe ...

Un soir de neige, d'un commun accord, ils étran­ glent le mari, que Seki a fait boire, et jettent son cadavre dans un puits voisin.

Trois ans passent.

Les villageois commencent à parler de Gisaburo, qu'on croyait parti un temps à Tokyo, et qui ne revient toujours pas ...

Mais surtout, Seki devient hanté par le fantôme de Gisaburo, qui lui apparaît en demandant du saké, tandis que Toyoji, obsédé par le crime, va rôder autour du puits.

Bientôt, le fantôme apparaît à d'autres personnes, comme la patronne de Seki, ou Denzo.

Un policier, l'inspecteur Hotta, arrive au village pour enquêter sur la disparition.

Un jour, Seki, perdue dans ses songes, laisse un incen­ die s'allumer chez elle : Toyoji la sauvera de justesse, ainsi que son enfant.

Le fils de la patronne surprend Toyoji au puits : on re­ trouve son corps pendu le lendemain.

Finale­ ment, les deux amants meurtriers décident d'enlever le cadavre du puits : puis, ils font l'amour au fond du puits rempli de boue, jusqu'à devenir méconnaissables.

Au matin, les gendarmes arrivent et arrêtent les deux amants : sous la torture, ils finissent par avouer leur crime, tandis que Denzo danse dans la neige qui recouvre le village ...

LA PETITE HISTOIRE Après /'immense succès de L'EMPIRE DES SENS, il était prévisible qu' Ushima et son pro­ ducteur français, Anatole Dauman, lui don­ nent une « suite » pourtant différente : Oshima, refusant le jeu du pur scandale, a en effet pris le parti de ne «rien» montrer dans L'EMPIRE DE LA PASSION, alors que le film précédent reposait sur !'évidence du moindre détail sexuel.

Reprenant l'acteur de L'EMPIRE DES SENS, Tatsuya Fuji, il a pourtant choisi Kazuko Yoshiyuki pour le rôle de Seki, pour ne pas reconstituer le couple précédent.

On retrouve ici les thèmes habituels d' Oshima (crime et passion, défi à l'ordre établi), mais comme atténués.

Malgré la beauté des images, notamment de !'automne dans les montagnes ~ du Japon, et l'utilisation de quelques séquences gi oniriques (le long rêve de Seki), L'EMPIRE l!! DE LA PASSION, tout intériorisé et esthéti- :~ que, ne laisse pas un souvenir aussi fort que le _, premier volet.

A signaler que le récit original ~ est basé, comme souvent chez Oshima, sur un ~ fait divers authentique.

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