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« Déclaration commune » de la Chine et de la Grande-Bretagne sur Hong Kong

Publié le 27/03/2019

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chine

Dans une u déclaration commune », la Chine et la Grande-Bretagne se mettent d'accord le 19 décembre 1984 sur la fin de la souveraineté britannique à Hong Kong : le 1er juillet 1997, la ville, un des grands centres économiques du monde, est restituée à la Chine»

avenir de Hong Kong soulève de nombreux problèmes  dans les années 70. Les investisseurs locaux et étrangers avaient obtenu en 1898, pour les terrains des Nouveaux Territoires, des contrats de bail qui expirent tous en même temps, trois jours avant le 30 juin 1997. Afin de maintenir la confiance de l'économie au-delà de cette date, la Grande-Bretagne et la Chine se voient obligées d'entamer des négociations à propos de la ville qui, elle, fut cédée à perpétuité en 1842.

 

Lors de sa visite en Chine, en septembre 1982, le Premier ministre britannique Margaret Thatcher décide avec Deng Xiaoping de considérer comme objectif commun le maintien de la stabilité et de la prospérité à Hong Kong. C'est sur cette base que l'on entame les pourparlers sur l'avenir de cette colonie de la Couronne britannique. La République populaire de Chine pose d'emblée ses conditions : elle considère Hong Kong comme un territoire homogène et indivisible, comprenant l'île de Hong Kong et de Kowloon, qui ne sont pas concernés par les << traités inégaux » de 1842 et 1860, si bien qu'à partir de 1997, la compétence britannique sur la région doit cesser, non seulement sur les Nouveaux Territoires mais aussi sur la ville de Hong Kong.

 

En septembre 1984, le texte d'une déclaration commune sur Hong Kong est élaboré; le 19 décembre 1984, le document, augmenté de trois annexes, est signé à Pékin. Le gouvernement de Sa Majesté se hâte de déclarer qu'il a intégré dans les négociations la volonté de la population de Hong Kong, bien que les habitants chinois de Hong Kong n'aient jamais été consultés. Le bras de fer diplomatique entre les deux gouvernements décide donc du sort de 6 millions d'habitants.

 

Dans un sondage datant de 1982, 95 % des habitants, dont 98 % sont

chinois, s'étaient prononcés pour le maintien du statu quo, plus des deux tiers refusant d'être à nouveau placés sous la souveraineté chinoise. Après la répression sanglante du mouvement démocratique en Chine, en juin 1989, pour la première fois dans l'histoire de Hong Kong, des centaines de milliers de personnes descendent dans la rue pour des raisons politiques, réclamant la démocratie dans toute la Chine.

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Les inves- tiss eur s locaux et étra ngers av aient obte nu en 1898, pour les terra ins des Nou veaux Territoi res, des contrats de ba il qui expirent tous en même tem ps, trois jours avant le 30 juin 19 97.

Afin de main tenir la confia nce de l'éc onomie au-delà de cette date, la Grande-Br etagne et la Chine se voient obligées d'entamer des négociations à propos de la ville qui, el le, fut cédée à perpétu ité en 1842.

Lors de sa visi te en Chi ne, en septe mbre 1982, le Premier ministre brit anni que Margaret That cher décide avec Deng Xiaoping de co nsidér er comme objectif commun le main tien de la sta bilité et de la prospérité à Hong Kong.

C'est sur cette base que l'on entame les pourparler s sur l'av enir de cette co lonie de la Cour onne britanni que.

La Répu blique populair e de Chine pose d'emblé e ses conditions : elle considèr e Hong Kong comme un territoi re homogène et ind ivisi ble, compr enant l'île de Hong Kong et de Ko wloon, qui ne sont pas concernés par les. »

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