Devoir de Philosophie

les alpinistes de mao résumé

Publié le 28/02/2024

Extrait du document

« Le Tallec Jolan TG4 Géopolitique Cédric Gras, né le 15 janvier 1982 à Saint-Cloud en Ile-de-France, est un écrivain français ayant reçu le prix Albert-Londres pour son livre Les Alpinistes de Stalines ( 2020 ). L'auteur est notamment connu pour es ouvrages à tournure géopolitique principalement en Orient ou en Asie.

Il a d'ailleurs été décoré de la médaille d'honneur des affaires étrangères. Il écrit Les alpinistes de Mao, son dernier ouvrage en date, en 2023. Tout d'abord, l'auteur décide d'introduire le livre par un écrit personnel à la première personne où il racontera la non-continuité des alpinistes de Mao par rapport aux alpinistes de Stalines mais plutôt une sorte d'inspiration.

Il dévoilera également aux lecteurs ses sources telles que des anciennes archives comme des écrits tels que des auto-biographie ou encore des journaux de bord, des images ou encore des films.

Il expliquera également la complexité d'avoir de vraies archives sur ce sujet là comparé à son ancien livre portant sur le régime soviétique puisque, contrairement à ce dernier, le régime communiste chinois demeure d'actualité. Enfin, dans ce court passage, il sera possible de voir la passion portée par l'auteur quant à l'histoire de l'Asie et de l’Orient. Ensuite, le livre se divise en 3 majeures partie dont il est nécessaire de distinguer : En premier lieu après l'introduction, la première partie qui nous est proposé est intitulé "XU JING ET LIU LIANMAN ».

Celle-ci sera séparé en plusieurs chapitres. Dans cette première partie, l'auteur nous présente les deux héros du livre : Xu Jing et Liu Lianman.

Il nous fait une une biographie de ces 2 personnages :ils étaient tous 2 ouvriers sans forcément être très sportif, cependant l’auteur les soupçonne d’avoir gagner du galon lors de la révolution chinoise, on insistera sur la « modestie sociale des héros et le rôle incontournable de la révolution »; il comparera même Xu Jing à Tintin au Tibet. Cédric Gras nous fait par la suite une aperçu géopolitique des 2 pays, en effet, il dit que l'URSS apporte une « assistance intéressé » à la Chine populaire sur des aspects tant économiques, législatifs que sur l'éducation et la formation, cette dernière notamment dans une nouvelle discipline : l'alpinisme ou « dengshan yundong » en chinois.

Le but de l'URSS, comme expliqué par l'auteur, était que l'Everest soit conquit par les communistes. Par la suite, Cédric Gras nous présente la sélection des alpinistes et leurs conditions.

Ceux-ci étaient aux départ des ouvriers, qui représentaient le peuple ( et non la bourgeoisie comme la fait le Royaume-Uni d’après C.Gras ), puis sélectionnés par le parti chinois pour être alpinistes.

Ils n'avaient guère le choix de refuser.

Ils devaient aimer l'alpinisme, sinon l'apprendre à l'aimer.

La condition pour être alpiniste était d'appartenir au parti communiste et d'en être un exemple, ensuite passaient au second plan les capacités physiques et intellectuelles, par exemple Liu Lianman serait « éternellement reconnaissant à Mao ». L'auteur nous expliquera par la suite la vie dans les camps d'entraînement, qui ne durent qu'un mois avant d'y ressortir avec un diplôme les certifiants comme alpinistes, soient les premiers alpinistes chinois.

Cette école était identique tant pour les soviétiques que les chinois, elle était située dans le Caucase. L’auteur nous expliquera ensuite les premières ascensions Sino-soviétiques comprenant au départ une majorité de soviétiques.Ces ascensions avaient comme but de préparer l’ascension à l’Everest.

Ils baptiseront leurs diverses conquêtes avec des noms à connotation communiste. Le lecteur verra également les relations entre les différents protagonistes par des archives parfois « rares », mais également la logistique, les équipements ou encore les conditions de ces expéditions. Le but de ces expéditions est certes de préparer les expéditions à l’Everest, mais aussi que les chinois affirment leurs territoires et leurs capacités à faire, ainsi qu’à contrôler l’intégralité de leur territoire : « Pékin n’a que faire des joies de la glisse, Mao n’a besoin que de drapeaux sur les sommets nationaux ».

Les soviétiques seront cependant « longtemps » en avance et seront appelés « grand frères » ou encore « grand soviétique qui marche très vite ». Dans la seconde partie du premier chapitre, l’auteur racontera les autres expéditions préparant à l’Everest telles que celles au Mynia Konka ou encore au Pic Lénine.

Lors de l’expédition de cette dernière, les chinois ont rattrapé leurs retard avec un effectif en supériorité que celui des soviétiques, cependant il faut peut-être nuancer qualité et quantité.

C.

Gras mettra au récit une tonalité épique, rendant ces expéditions agréables à lire pour le lecteur.

Cependant nous pouvons également nous demander si C.Gras n’a pas voulu reprendre le style des livres de propagande chinoise traitant ces expéditions en héro : « « Nous trouverons une voie même s'il ne devait rester qu'un seul de nous huit » ».

- Shi Zanschun.

Ainsi, S.

Zanschun.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles